Alexandre Del Valle. L’horizon Mad Max ou l’autodestruction d’un Occident qui se complaît dans la repentance et la haine de soi

Manifestation pro-Adama Traoré, le 22 juin, à Stains. Photo © Bastien LOUVET/ BRST/SIPA

Alexandre del Valle analyse les récents actes christianophobes à l’aune du processus de “décivilisation” anti-occidentale et d’ensauvagement qui alimente chaque jour l’actualité : Black Lives Matter, islamisation radicale, diabolisation des forces de l’ordre, immigrationnisme offensif, violences anarcho-gauchistes, racisme anti-Blancs, etc.

Depuis plusieurs jours, tous les médias parlent de la cathédrale de Nantes, mais aucun ou presque, excepté Le Parisien, n’a évoqué l’attentat islamiste déjoué de justesse, le 20 juillet dernier en Seine-Saint-Denis, lorsqu’un terroriste armé d’un fusil-mitrailleur et d’un sabre a tenté de s’attaquer à une église remplie de fidèles en hurlant « Allahu akbar », avant qu’un agent de sécurité ne le percute avec sa voiture pour le neutraliser. Ce genre d’actes va être de plus en plus courant, dans un pays durablement gangrené par l’islamisme radical, où trois lieux de culte chrétiens sont vandalisés chaque jour et où les attaques envers des autochtones désormais banales ne font jamais la une alors que les morts de malfrats déclenchent des manifs monstres et font exploser les audiences. Contrairement à d’autres « phobies », l’autochtonophobie et son corollaire la christianophobie sont d’autant plus banalisées, impunies et parfois même encouragées qu’elle visent l’ethnie et la religion de l’Homo-Occidentalis-colonialiste-impérialiste à abattre. D’après une grille de lecture de l’Histoire à charge, ce dernier serait en effet responsable de tous les maux de la terre. Sa civilisation (histoire, nations, Etats, frontières, religion et ethnies) serait « la PIRE de toutes ».

Face au mythe paranoïsant de « l’islamophobie occidentale », les faits montrent que la religion chrétienne est de loin la plus persécutée de toutes. Les génocides dont elle fut victime dans le passé (génocide des Arméniens, Syriaques-araméens et Grecs en Turquie en 1915 et de tous les autochtones chrétiens en Péninsule arabique ou au Maghreb des siècles plus tôt), ou plus récemment (Pakistan, Kosovo, Soudan du Sud, Centre-Afrique, etc.) sont systématiquement niés. De ce fait, si l’ONU qualifie de génocide le massacre de 8 000 musulmans en Bosnie par les Serbes et celui de 300 000 musulmans noirs du Darfour par les musulmans du Nord Soudan, celui d’un millions de noirs-chrétiens et animistes par le même régime militaro-islamiste de Khartoum dans les années 1990 ne l’est pas ! Pendant que les antiracistes de profession dénoncent continuellement « l’islamophobie occidentale » largement imaginaire (les pays où les musulmans sont massacrés ou privés de droits sont la Birmanie, la Chine et l’Inde, jamais dénoncés par les pays islamiques aux Nations unies), les chrétiens sont persécutés dans presque tous les pays communistes et islamiques, mais cela ne fait pas la Une car la majorité des membres de l’Assemblée générale des Nations unies et de son ubuesque Conseil des Droits de l’Homme de Genève où les Saoudiens ont des fonctions officielles, sont des pays islamiques, marxistes et tiersmondistes anti-occidentaux. A ce propos, il est utile de consulter les rapports annuels de deux associations, l’une catholique, L’Aide à l’Eglise en Détresse (AED) et l’autre protestante, Portes Ouvertes, qui montrent que de 260 millions de chrétiens (1 chrétien sur 8) sont persécutés dans le monde dans la plus grande indifférence, avec en tête la Corée du Nord, la Chine et la majorité des pays musulmans.

La genèse du Mal : l’impunité des totalitarismes rouge et vert

Curieusement, dans notre Occident culpabilisé, où le totalitarisme nazi-fasciste a été (heureusement) moralement et juridiquement condamné à Nuremberg (ce qui a créé des anticorps rendant impossible le « retour de la bête immonde »), les deux autres totalitarismes (marxisme / islamisme) sont perçus comme « moins condamnables » du fait de ne pas avoir persécuté au nom de la race. S’ajoute à cela l’idée que l’islamisme radical/djihadiste n’aurait « rien à voir avec l’islam » et donc avec la charia (en réalité source du totalitarisme islamiste mais jamais réformée du fait de son intouchabilité), tout comme le communisme responsable de 100 millions de morts n’aurait « rien à voir » avec le marxisme, pourtant lui-même totalitaire et violent dans ses textes sacrés. Cette exonération explique la nocivité pérenne de deux fléaux idéologico-subversives qui sapent les valeurs fondatrices des sociétés d’Occident depuis les années 1980 : le néo-gauchisme sans-frontiériste, anti-flics et anti-Etat, et son allié de circonstance néo-prolétaire post-colonial qu’est l’islamisme radical. Cette convergence rouge-verte explique en le succès du mouvement révolutionnaire occidentalophobe des Black Lives Matter, lequel n’a pas été créé en 2020 par des Afro-Américains paisibles horrifiés par la mort d’un “noir étranglé par un blanc” ou par la politique supposée « raciste » de Donald Trump, mais en 2015 par des militants trotsko-gauchistes blancs désireux de récupérer la cause noire pour déstabiliser-culpabiliser-diaboliser nos sociétés démocratiques dans une logique révolutionnaire, d’où l’alliance avec les Frères-musulmans (AJ+) et les suprémacistes noirs-islamistes du mouvement afro-américain Nation of Islam, également actif en France et proche des comités pro-Traoré.

On n’est jamais mieux servi que par soi-même

Dans nos sociétés martyrocratiques et post-démocratiques fondées sur la tyrannie des lobbies victimaires, des minorités tyranniques et des médias sans contre-pouvoirs, tout se passe comme si l’autorité réelle appartenait à ceux qui intimident moralement ou physiquement et qui démontrent leur « pouvoir de nuisance communautaire » (« néo-racisés » indigénistes, pilleurs-émeutiers des banlieues en flammes; LGBTistes ou écolo-animalistes radicaux, Blacks Blocs, néo-gauchistes, islamistes, etc). Les groupes claniques qui défendent « l’honneur » de voyous membres de leurs « clans » arrêtés par la police, suscitent de ce fait plus « l’émotion » (dixit Castaner) que des citoyens honnêtes (de toutes les couleurs), victimes de malfrats, comme la gendarmette « gaulloise » Mélanie Lemée, 25 ans, fauchée par un automobiliste qui tentait d’échapper à un contrôle routier, ou, plus récemment, Axelle Dorier, aide-soignante, tuée après avoir été traînée sur 800 mètres par une voiture conduite par un criminel qui venait lui-même « défendre » ses amies qui avaient écrasé le chien d’Axelle (qui venait d’appeler la police…).

Il est clair que les familles de ces deux victimes « incolores non-racisées », donc indéfendables, n’ont pas le même pouvoir de mobilisation victimaire et d’intimidation violente et n’ont donc ni la capacité ni même l’idée de lancer un mouvement Policewoman Lives Matter ou White Nurses Lives Matter… Pareil déclin de la responsabilité individuelle et délégitimation de l’Etat-Nation puis des forces de l’ordre (qui détiennent normalement le “monopole de la coercition légitime”) et pareille légitimation de la violence (illégale) de groupes ethno-religieux vindicatifs, constitue un phénomène de décivilisation sans précédent depuis les invasions barbares et la chute de l’empire romain d’Occident au Ve siècle. L’homme blanc occidental pris au piège de sa culpabilisation identitaire pathologique ne récolte en fait que ce qu’il a semé: ses sociétés multiculturelles utopiques sont devenues des sociétés multiconflictuelles chaotiques.   

« L’horizon Mad Max » ou la décivilisation occidentale

Le processus d’ensauvagement de nos sociétés déstructurées, conséquence du « Grand renversement » (délégitimation de l’Etat-Nation et de la police et sanctification de leurs ennemis), s’observe chaque jour dans tous les pays occidentaux n’ayant pas su intégrer et contrôler l’immigration extra-européenne et ayant renoncé au patriotisme: incendie volontaire de la cathédrale de Nantes, vidéos de kalachnikovs à Dijon aux lendemains d’affrontements inter-communautaires algéro-tchétchènes; manifestations anti-babtous/anti-juives de supporters de Floyd et Traoré (les Blacks Lives Matter qui ont eux-mêmes tué dans l’indifférence médiatique des blancs anti-génuflexions aux Etats-Unis). Et ce processus, qui envoie un immense signal de faiblesse aux prédateurs et autres nations quant à elles ultra-nationalistes, explique les incessantes exigences d’excuses des présidents algériens et turcs qui accusent la France de « génocide en Algérie », et rackettent les « croisés européens » sous peine d’ouvrir les vannes de l’immigration massive ou de radicaliser leurs minorités présentes sur notre sol. Cet ensauvagement des sociétés d’Occident, qui a commencé dans les années 1980 (ère ou « génération Mitterrand »), n’est qu’à ses débuts, et les prédateurs extérieurs ne font que commencer à en tirer parti… Il ne peut que s’intensifier à l’avenir, avec la convergence de paramètres imparables que sont le vieillissement des autochtones européens face à des jeunesses extra-communautaires afro-islamiques travaillées (en partie) par les révolutionnaires islamo-marxistes; les crises financières, sanitaires et économico-sociales prévisibles et la montée de l’islamisme radical allié aux révolutionnaires marxistes et écolos-indigénistes. J’ai appelé ce scénario à venir « l’horizon Mad Max ».

Preuve du lien entre ces phénomènes apparemment différents que sont le Black Lives Matter, l’immigration incontrôlée, l’islamisme radical et la christianophobie, il suffit de scruter les profils de récents attentats causés par des migrants et qui font le jeu des djihadistes en s’attaquant aux mécréants blancs et aux symboles chrétiens: l’incendie de la cathédrale de Nantes a été à la fois saluée et revendiquée par des membres du groupe islamiste Forsane Alizza, mais commis par un « ressortissant » rwandais bénévole du diocèse et « mécontent du non-renouvellement de son titre de séjour », (comme si cela justifiait son acte), puis salué par des militants anarcho-gauchistes christianophobes sur les réseaux sociaux. La boucle est bouclée: Lisons plutôt la récente  prose de militants de la Ligue de défense noire africaine, membre active des comités Traoré et de Black Lives Matter, qui s’est réjouie de l’incendie de la cathédrale : « Oh! Feu sur la #CathédraledeNantes?! La #Cathédrale payée par les négriers nantais par l’argent de la traite-esclavage? Qu’a fait l’@Eglisecatho pour empêcher la déshumanisation de nos ancêtres? Pas un sermon ni une Bulle de @Pontifex_fr pour les NEGRES!.»

Déjà, il y a deux semaines, le groupe proclamait : « Bientôt viendra le jour où la LDNA obtiendra des réparations justes pour toutes les atrocités commises et permises par la France, sur nos ancêtres. Même le Vatican, l’Église catholique, devra passer à la caisse et être dissoute après le paiement des réparations.» Quant à un internaute anarcho-gauchiste (@MuArF), celui-ci s’est réjouit, comme tant d’autres l’avaient fait impunément lors de l’incendie de Notre Dame de Paris : « La seule cathédrale qui illumine est celle qui brûle»… Dans notre société ensauvagée, auto-raciste qui a appris aux nouveaux venus à nous haïr, il n’y a en effet rien d’étonnant à ce que des néo-totalitaires rouges-marxistes, des Verts Islamistes ou écolo-radicaux/animalistes et des suprématistes Black convergent pour en finir avec l’Occident honni (avant de s’entre-déchirer) et répètent, pour justifier leur haine « souchiennophobe » et christianophobe, les désinformations historiques que nos repentants ethno-masochistes invétérés leur ont enseignées durant des décennies : croisades, esclavagisme, colonisation, « sionisme », « islamophobie », « impérialisme », etc. Face à ce festival de griefs, il est tout même bon de leur rappeler quelques vérités historiques.

Le mythe de l’Occident chrétien, « civilisation esclavagiste par excellence »

Pour répondre aux Black Lives Matter, aux « indigénistes-néo-racisés » et autres « indignés rouges-verts », nous invitons ceux qui manquent d’arguments solides à lire non seulement mon ouvrage Le complexe occidental, mais plus modestement celui du célèbre abolitionniste Henri Wallon, Histoire de l’esclavage sous l’antiquité. Ce dernier a montré que l’Eglise des premiers jours combattit l’esclavage et recruta même beaucoup de fidèles parmi les esclaves. Et si les choses changèrent ensuite non pas à cause de l’Eglise mais des moeurs inégalitaires de TOUTES les sociétés du monde, même africaines, qui pratiquèrent toujours l’esclavage, il est faux d’affirmer que l’Église catholique attendit la fin du XIXe siècle pour le condamner. Très tôt en Europe, les rois et les évêques, y compris William le Conquérant (1027-1087), Saint-Wulfstan (1009-1095) et Saint-Anselme (1033-1109), l’interdirent. Au XIIIe siècle, Saint-Thomas d’Aquin décréta que l’esclavage était un « pur péché ».

C’est sur cette base que l’Eglise qualifia l’esclavage de « péché contre la dignité humaine ». En 1437, le Pape Eugène IV publia la Bulle Sicut Dudum qui excommuniait les esclavagistes. Pie II (1458 à 1464) et Sixte IV (1471 à 1484) édictèrent eux aussi des Bulles contre l’esclavage. En 1537, le Pape Paul III fit une déclaration officielle contre l’esclavage 1400 ans avant que l’Arabie saoudite ou le Soudan ne l’interdisent… Le Pape Paul III (de 1534 à 1549) édicta une Bulle condamnant l’esclavage en Amérique. Le 22 avril 1639, Urbain VIII (1623 à 1644) publia la Bulle Commissum Nobis excommuniant ceux qui réduisaient quiconque à l’esclavage. Hélas, l’Eglise romaine était peu écoutée par les rois, qui n’en faisaient qu’à leur tête. Et lorsque les quakers américains protestants initièrent le mouvement abolitionniste aux Etats-Unis, ils furent soutenus par des évêques catholiques. De même, ce sont des Eglises catholiques et protestantes qui menèrent la lutte contre l’apartheid en Afrique du Sud, la figure ecclésiastique la plus connue étant Desmond Tutu.

La traite arabo-musulmane des noirs

Parallèlement à l’esclavage des noirs par les blancs, ou « commerce triangulaire », condamné par l’Eglise et depuis longtemps unanimement condamné partout l’Occident et non en pays africains ou musulmans, la traite arabo-musulmane des noirs (mais aussi de captifs blancs razziés) n’a jamais été condamnée par les élites religieuses islamiques (l’esclavage est permis par la charia). Cet esclavage islamique n’a d’ailleurs cessé que sous les colonisations et pressions occidentales entre le milieu du XVIIIe siècle et le XXe siècle. Le spécialiste sénégalais de l’esclavage, musulman lui-même, Tidiane N’Diayé, a rappelé dans ses ouvrages (Le génocide voilé) que la traite arabo-islamique, indépassable en cruautés, fit encore plus de victimes et dura bien plus longtemps que l’esclavagisme européen. Il est remarquable que cette réalité historique n’ait jamais été solennellement condamnée par l’ex-ministre de la Justice française, Christiane Taubira, auteur d’une loi mémorielle sur l’esclavage votée en 2001 qui ne mentionne que la traite des noirs par les Européens, pas plus que par les Traoristes et Floydistes du Black Lives Matter.

Un autre éminent spécialise, Olivier Pétré-Grenouilleau, professeur à l’Université de Bretagne Sud, qui reçut en juin 2005, le prix du Sénat du Livre d’histoire pour son essai Les Traites négrières. Essai d’histoire globale, rappela que l’Afrique noire fut actrice et non pas seulement victime de la traite négrière. Le même phénomène de condamnation sélective s’observe au niveau international : la Conférence mondiale de l’ONU « contre le racisme, la xénophobie et l’esclavage », tenue à Durban du 28 août au 7 septembre 2001, à l’initiative du Conseil des droits de l’Homme, et à laquelle participèrent la plupart des pays islamiques membre de l’OCI (dont l’Arabie saoudite), n’aborda jamais la question de l’esclavagisme musulman et interafricain, pourtant humainement aussi horrible et condamnable. Elle fit en revanche un procès sans appel de l’Occident, supposé « islamophobe », « sioniste » et coupable ad vitam aeternam des colonisations, des croisades et de l’esclavage. Pourtant, dans la péninsule arabique, le sous-continent indien, le Niger, le Mali, le Soudan, le Nigeria ou la Mauritanie, l’esclavage des noirs non-musulmans a longtemps été pratiqué et autorisé, et il est parfois encore toléré. Les derniers pays du monde à ratifier l’abolition de l’esclavage ont d’ailleurs été deux Etats régis par la charia, qui autorise l’esclavage : l’Arabie saoudite, en 1962, et la Mauritanie en 1981.

Un deux poids deux mesures culpabilisateur

Comme nous l’avons évoqué en début d’article, il faut répondre aux culpabilisateurs rouges-noirs-verts professionnels qui masquent leur haine anti-occidentale derrière un antiracisme dévoyé et en réalité néo-raciste, que si TOUTES les sociétés ont colonisé, tué, envahi, commis des crimes, contre d’autres ou elles-mêmes, si elles ont toutes pratiqué l’esclavage, c’est la civilisation blanche-judéo-chrétienne occidentale qui a été la première à condamner moralement, au nom de la sacralité de l’individu, puis aboli non seulement la haine raciale, encore présente dans de nombreux pays africains, latino-américains, asiatiques et islamiques, mais aussi et d’abord l’esclavage. Et à ceux qui accusent l’Eglise catholique et le christianisme en général d’avoir été complices de l’esclavagisme, il faut répondre que non seulement elle fut la première religion qui le condamna et lutta contre lui, mais que la religion musulmane continue d’enseigner dans le droit islamique (Fiqh) et la charia sa légitimité, puis enfin que l’esclavage, totalement banni et absent en Europe occidentale, en Australie, en Russie, ou aux Etats-Unis, est toujours pratiqué dans le reste du monde occidental décolonisé mais pas forcément « sans tâche ». L’Organisation internationale du travail (OIT) estime qu’aujourd’hui 25 millions de personnes vivent encore actuellement dans des conditions assimilables à de l’esclavage, d’où le terme d’« esclavage moderne ». Ces esclaves sont principalement situés en Afrique, en Asie extrême et en pays musulmans. Pas en Occident. Selon l’ONU, chaque année, deux millions de personnes sont ainsi réduites en esclavage dans le monde non-occidental. Les Blacks Lives Matter ne s’en soucient guère : ils ne s’intéressent qu’aux crimes passés ou présents, réels ou imaginaires (Traoré, Théo, etc.) des blancs envers les autres.  Tant pis pour les victimes blacks des noirs ou des islamistes, dans le passé comme dans le présent. Leur sort est sacrifié sur l’autel de l’idéologie anti-occidentale.

Essayiste, spécialiste de géopolitique, Alexandre Del Valle est auteur avec Emmanuel Razavi de Le Projet, la stratégie de conquête et d’infiltration des Frères musulmans en France et dans le monde (Éd. L’artilleur).


Source: Valeurs Actuelles. 22 juillet 2020.

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2 Comments

  1. Jusqu’où va l’abjection : des tee-shirts “White silence is violence ” sont en vente libre et le best-seller aux USA est l’ouvrage raciste d’une cinglée nommée Robindiangelo sur le prétendu “privilège blanc”. Le voilà,le véritable racisme systémique.

  2. L’horizon Max Max dont parle Monsieur Del Balle existe déjà.I! Est déjà là.
    Et les dirigeants et autres politicards qui gèrent la France a leurs profits
    Vont continuer a favoriser par leur inaction et !durs complicités cet état de violence .Seule solution se prendre en main! Commencer à se regrouper,a se parler et a retrouver notre souveraineté.Il en va de notre vie de celles de nos enfants.
    Vive la France et vive Israël.

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