Guillaume Bigot : «Les Français ont soif de justice et de protection»

 Guillaume Bigot 
L'édito de Guillaume Bigot : «Les Français ont soif de justice et de protection»

L'édito de Guillaume Bigot : «Les Français ont soif de justice et de protection»

Publiée par CNEWS sur Samedi 11 juillet 2020

Membre des Orwelliens, Guillaume Bigot est politologue, essayiste, et chroniqueur.

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5 Comments

  1. Selon Bigot : « « Au Japon…le consensus social est puissant, les mœurs sont respectées…la police est donc peu répressive ».
    Inexact ; au moins.

    Voyons le comportement répressif du système judiciaire japonais à l’égard de Carlos Ghosn ; alors qu’ils auraient pu être plus tolérants, s’agissant d’un citoyen étranger n’ayant commis « que » des délits d’argent (et clamant son innocence).
    Ils pratiquent sans doute la présomption de culpabilité….

    Sachant par exemple que le Métro de Tokyo aux heures de pointe réserve le premier et le dernier wagon de chaque rame exclusivement aux femmes… Sans doute vu le comportement de certains Japonais à l’égard des Japonaises, « profitant » de la promiscuité…
    Sans oublier que le Japon pratique toujours la peine de mort ; peu répressif, ça ?
    De quoi discréditer la thèse que « Au Japon…les mœurs sont respectées ».

    En effet, il y a inversion du lien de cause à effet à la base de cet article ; c’est bien le contraire : les mœurs sont respectées là où la police est répressive. Zéro tolérance…

    En revanche, Bigot aurait pu s’appuyer sur la « pureté ethnique » du Japon, sachant que c’est une civilisation ethniquement homogène, farouchement rétive à toute immigration.
    Malgré le vieillissement dramatique de sa population qui, inévitablement, sonnerait son glas sauf inversion des courbes démographiques, improbable sans immigration.

    Le Japon est une sorte d’énorme village natal ancestral quasi-familial où « on se connait tous » ou presque, avec la pression sociale que cela entend.
    Le Japonais est facilement culpabilisé face aux siens et, ayant commis un délit, ne peut prétexter une « discrimination ».

    D’où la culture du don de soi (kamikaze…) pour la patrie ; mais aussi son revers : celle de l’aveu, de la repentance et même du suicide : le « Hara-Kiri » en cas de perte définitive d’honneur.

    Quel rapport avec l’article ?

    Entre l’immigration zéro à la japonaise, impliquant à terme une consanguinité suicidaire, et une France ouverte à tous vents s’acheminant, par la démographie mais non seulement, inéluctablement vers une position de première puissance d’Europe :
    C’est ça, LE VRAI CHOIX.

    • Entre zéro immigration et immigration tsunami il y a des paliers ! On ne peut pas accueillir toute la misère du monde ni accepter que ceux qu’on accueille veuillent changer le visage et l’ordonnancement du pays ! Tout est dans les degrés !

    • Votre portrait du Japon, pays de grande culture ayant su s’ouvrir à celles de l’occident tout en préservant la sienne, est très caricatural. Et comme le dit André Mamou, en matière de politique migratoire, tout est dans les degrés, dans l’équilibre. BAV

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