Festival du Cinéma Israélien à Cannes 2ème édition, du 3 au 8 mars 2016

Le Festival du Cinéma Israélien à Cannes, deuxième édition se déroulera du jeudi 3 au mardi 8 Mars 2016 dans les cinémas de Cannes et du Cannet : Arcades, Olympia, Cannet-Toiles.

affiches

La séance d’ouverture aura lieu le jeudi 3 mars 2016 avec la projection d’Ô Jérusalem
d’Elie Chouraqui, en présence du réalisateur et sera suivie d’un cocktail d’inauguration en
présence des spectateurs, sponsors et parrains de cet événement.

Cette projection aura lieu avec le soutien du Consul Général d’Israël à Marseille, sous le
haut patronage de:
La Mairie de Cannes,
M. Gérard Bavard, Président du Consistoire Israélite de Cannes et sa Région,
M. David Moyal, Rabbin de Cannes,
Le Père Abbé Vladimir, Abbaye des Moines de Lérins,
M. Mendel Matusof, Rabbin Association cultuelle du Judaïsme à Cannes,

Programme du 2ème Festival du Cinéma Israélien à Cannes :

programme

Chaque film sera précédé d’un court-métrage de l’Ecole de Cinéma Sapir, située à Sderot en Israël.
Cette école est représentée par Dominique Welinski, productrice, Responsable des relations internationales pour le Sapir Collège :
Reflection / Layla / Holot / Insight / Gezeme / Second world war : Third generation.

Ô Jérusalem

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27 Novembre 1947. Les représentants de 56 des pays membres de l’Organisation des Nations Unies votent le partage de la Palestine. Cette année-là à New York, deux amis âgés de 27 ans, Bobby Goldman, juif new-yorkais, et Saïd Chahïn, arabe de Jérusalem, vivent dans l’atmosphère insouciante de la fin de la Seconde Guerre mondiale et partagent avec ferveur les mêmes idées et les mêmes valeurs. Bouleversés par les événements qui vont bientôt enflammer Jérusalem, Bobby et Saïd s’embarquent sur un navire à destination de la Terre Sainte. Les deux amis ne réalisent pas encore que leur destin commun vient de prendre un tournant dramatique : frères devenus ennemis, ils vont des années durant se déchirer comme vont se déchirer leurs deux mondes, leurs deux peuples, leurs deux religions, leurs deux cultures.

The kind words

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Après le décès de leur mère, trois Juifs israéliens découvrent que leur père biologique était musulman, et partent en France pour tenter de le trouver.

Les Citronniers

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Salma vit dans un petit village palestinien de Cisjordanie situé sur la Ligne verte qui sépare Israël des territoires occupés. Sa plantation de citronniers est considérée comme une menace pour la sécurité de son nouveau voisin, le ministre israélien de la Défense. Il ordonne à Salma de raser les arbres sous prétexte que des terroristes pourraient s’y cacher. Salma est bien décidée à sauver coûte que coûte ses magnifiques citronniers. Quitte à aller devant la Cour Suprême afin d’y affronter les redoutables avocats de l’armée soutenus par le gouvernement. Mais une veuve palestinienne n’est pas libre de ses actes surtout lorsqu’une simple affaire de voisinage devient un enjeu stratégique majeur. Salma va trouver une alliée inattendue en la personne de Mira l’épouse du ministre. Entre les deux femmes s’établit une complicité qui va bien au-delà du conflit israélo-palestinien.

This is my land

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Comment les programmes scolaires palestiniens et israéliens abordent l’Histoire de leur pays ? Pendant une année scolaire, “This is my land” suit plusieurs enseignants israéliens et palestiniens. A travers les différents programmes imposés par les ministères et la réalité du quotidien dans les classes, on nous offre un regard unique sur le conflit israélo palestinien et sur son impact profond et durable sur les nouvelles générations.

Mr Gaga, sur les pas d’Ohad Naharin

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Documentaire sur le célèbre danseur et chorégraphe israélien Ohad Naharin. L’homme, né dans les années cinquante, est l’un des artistes contemporains les plus reconnus. Ses chorégraphies sont volontairement militantes et subversives. Il a commencé sa carrière avec des personnalités comme Maurice Béjart. Il est le créateur du Gaga, un langage corporel qu’il a inventé dans les années 1990. En 2001, l’homme a perdu sa femme et sa partenaire sur scène, Mari Kajiwara, une danseuse d’origine américaine et asiatique. Il est aujourd’hui directeur de la Batsheva Dance Company. Le film est réalisé par Tomer Heymann qui a signé des œuvres comme “I Shot My Love”, “The Way Home” et “Debut – Hofaat Bechora”. Il a été sélectionné au BFI London Film Festival.

A tale of love and dark­ness, de Natalie Portman adapté d’Une histoire d’amour et de ténèbres de l’Israé­lien Amos Oz. (sous réserve de projection)

Synopsis : A Jéru­sa­lem, après la seconde guerre, la Pales­tine sous mandat britan­nique vit ses derniers moments.

Dans ce pays où chaque geste semble enga­ger l’ave­nir de deux peuples, la douce Fania berce Amos, son fils unique, d’his­toires, de chan­sons et de contes qui ne finissent pas toujours bien ; et d’un amour immense impuis­sant à répa­rer sa mélan­co­lie. A tale of love and dark­ness retrace le destin de ce petit garçon élevé par une mère dépres­sive qu’il a trop enten­due pleu­rer, d’un enfant qui se rêve agri­cul­teur mais devien­dra écri­vain.

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