Rompre le silence pour désinformer et tromper l’opinion

Une fois encore, la presse internationale se « réjouit » de pouvoir publier des informations et des rapports d’ONG israéliennes qui condamnent « les dérives de l’armée israélienne ». Des journaux français, dont Le Monde, y consacrent leur première page, illustrée de photos et de cartes, et expliquent comment l’État juif, qui possède selon Netanyahou « l’armée la plus morale du monde », a une « vision singulière du droit de la guerre » et comment elle s’affranchit progressivement des conventions de Genève.

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A la frontière entre Israël et la Bande de Gaza, le 29 juillet 2014, pendant «Bordure protectrice». (Jack Guez. AFP)

La désinformation est, hélas, devenue une routine dans la presse internationale. Concernant l’État juif, les nouvelles négatives seront toujours mises en avant tandis que les autres dossiers brûlants et graves, comme les crimes contre l’Humanité commis par nos voisins, sont minimisés, voire oubliés. C’est ainsi que la presse bafoue les règles de déontologie et prend partie dans ce conflit : les Palestiniens seront toujours « les bons et les victimes » ; les Israéliens seront « les méchants, les oppresseurs, les criminels » !
Ainsi, après chaque opération militaire, Tsahal est toujours mis au pilori, accusé de violation du Droit international, et se retrouve mis dans le même sac que les grands criminels de guerre de la planète.
Certes, toutes les guerres sont sales et chaque opération à ses propres défaillances et dérives car nos ennemis, impitoyables, bafouent les lois de la guerre. Cependant, il est scandaleux et révoltant de constater comment un journal sérieux, qui prétend rapporter toute la vérité à ses lecteurs, ne dit pas un seul mot sur les causes de cette opération ni sur le déluge de roquettes et de missiles lancés sur la population civile israélienne. Mais, par contre, il ose publier une photo (prise par un photographe palestinien) qui nous montre les corps de trois enfants palestiniens « tués par une attaque aérienne israélienne » sans rien nous dire des causes ni des circonstances et sans expliquer clairement que le Hamas utilise des enfants et des femmes comme bouclier humain.
On nous raconte que l’ONG en question a recueilli les témoignages d’une soixantaine de soldats israéliens ayant participé à la dernière guerre de Gaza. Aucun nom n’est donné. Tous les témoins sont anonymes. Et puis, quand on nous révèle – grand scoop – que les membres de cette ONG sont d’anciens combattants de Tsahal (sic), rappelons qu’en Israël le service militaire est obligatoire et que chacun fait son service militaire… et a aussi ses propres opinions politiques…
Et puis, on nous raconte qu’il existe en Israël une censure militaire qui cache des informations et que nous somme intolérants à la critique… Faux : la liberté d’expression est absolue ici et aucune ONG des « droits de l’Homme » n’a été interdite par les autorités. En revanche, nous savons parfaitement qu’elles ont un agenda précis, idéologique, antisioniste et qu’elles sont financées par des fondations palestiniennes et européennes et par des organisations onusiennes. Sans leur soutien ces ONG n’auraient jamais existé !
En conclusion, il n’y a bien entendu aucune comparaison à faire entre la conduite de Tsahal et les violations des règles de la guerre et le terrorisme que pratique brutalement et aveuglement le Hamas.
Nous pouvons affirmer que, contrairement à des armées membres de l’OTAN, Tsahal reste une armée qui fonctionne avec un code moral et éthique dans des conditions très difficiles et un environnement hostile et cruel. La presse peut toujours s’associer à la désinformation et prendre partie pour les Palestiniens mais nous, ici, nous connaissons la vérité sur le terrain.
Nous savons parfaitement comment nos enfants se conduisent. Ils sont contraints de devenir soldats et de prendre une arme pour défendre leur patrie. Nos ennemis souhaitent nous détruire et nous avons donc parfaitement la légitimité de combattre le fléau du terrorisme. C’est notre survie qui est en jeu et non pas le reportage d’un correspondant, l’opinion partiale d’un journal moraliste ou d’un rapport d’ONG.
Enfin, nous conseillons à nos lecteurs de lire ou de relire l’étude approfondie publiée récemment par le JCPA-CAPE de Jérusalem qui répond en détail à toutes les allégations mensongères formulées contre Tsahal et donne notamment le témoignage révélateur d’un Colonel de l’armée britannique.
auteur22
 
 
 
 
Freddy Eytan
http://jcpa-lecape.org/rompre-le-silence-pour-desinformer-et-tromper-lopinion/
 

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