René Seror a écouté … les Infos françaises!

Tomer: il a décidé de réparer gratuitement les climatiseurs des survivants de l’Holocauste

1ère partie
Ça, c’est Israël!


J’écoutais le journal du soir, sur RTL.
J’aime le rythme de Thomas Sotto.
Pendant que mes oreilles découvrent les informations du jour, mes yeux parcourent le fil d’actualité de FB.
Et je tombe sur une photo qui me bouleversé. Je l’ai copiée/collée, car je voulais attirer l’attention d’un maximum.

Voici la photo. Et voici le texte écrit en hébreu que j’ai traduit, sans essayer de l’interpréter.

Excitant !
Le survivant de l’Holocauste de Holon a souffert du froid et de la climatisation qui ne fonctionne pas.
Il a décidé d’abandonner l’achat de médicaments et de commander un technicien de climatiseur.
Le technicien qu’il a commandé s’appelle TOMER l’ange.
Tomer a décidé de réparer, ainsi qu’à tous les survivants de l’holocauste en Israël, les climatiseurs gratuitement.

Un grand Bravo.
HAZAK à TOMER.

2ème partie : ça, c’est la France!


En dessous, j’ai titré:
ÇA C’EST ISRAËL!
Comment titrer ce qui suit? ÇA, C’EST LA FRANCE?


Renseignement français :
16 agents écartés pour radicalisation.
Matignon veut renforcer le contrôle.
La mission diligentée après l’attaque au couteau à la préfecture de police de Paris préconise plusieurs mesures pour limiter la vulnérabilité des agents du renseignement.
Elles portent sur les soupçons de radicalisation, le recrutement ou l’habilitation secret-défense.

Le Premier ministre doit rendre publiques cet après-midi les conclusions de l’une des deux missions d’inspection diligentées après l’attaque au couteau à la préfecture de police le 3 octobre dernier.
L’assaillant, un informaticien en poste à la direction du renseignement (DRPP), converti à un islam rigoriste, Mickaël Harpon, a fait quatre morts avant d’être tué.
Le rapport commandé par Matignon à l’Inspection des services de renseignements dresse un état des lieux en matière de « vulnérabilité » des agents français.

Selon nos informations, les outils à la disposition des services et les processus pour repérer ces vulnérabilités ont été jugés d’un bon niveau mais perfectibles car hétérogènes. Depuis 2014, 16 agents auraient été écartés pour soupçons de radicalisation mais aucun depuis l’attaque à la préfecture de police.

PROCEDURES RENFORCÉES


Il a cependant été jugé nécessaire de renforcer les procédures d’habilitation au secret-défense qui ne répondent pas aux mêmes standards selon les services. Les agents de la DRPP, qui étaient soumis à une procédure spécifique, seront désormais traités par la DGSI, le service de renseignement national. Le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale est chargé de mettre en place une doctrine commune.

Le recrutement, quant à lui, sera harmonisé sur les standards les plus élevés, avec un entretien préalable à l’affectation en présence d’un psychologue et d’un officier de sécurité.

Tous les cas relevant d’une possible radicalisation seront suivis à un niveau central, et non plus seulement au sein des directions concernées.
Les formations initiales et continues mettront l’accent sur la détection des « signaux faibles ».

Vendredi, une dernière réunion de calage s’est tenue dans le bureau du directeur de cabinet du Premier ministre, en présence des responsables des services de renseignement dits du « premier cercle », à commencer par la DGSI (intérieur) et la DGSE (extérieur), ainsi que le Coordonnateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme.

3ème partie: Chance? Droit? Futur triste…


Au cours du journal de RTL, une chroniqueuse m’a arraché de gros soupirs.
100% ÉMOTION HUMIDE.
C’est pourquoi je reprends scrupuleusement sa chronique.
Elle s’appelle Andrea Bescond.
Je la cite, elle parle à son petit fils:
«  Nous sommes en 2049. Je suis une vieille dame, dorénavant.
Mon petit fils a 6 ans.
Il s’arrête et me dit:
-Oh, Mamy, regarde comme il est beau ce centre commercial!
-Oui mon chéri, c’est une magnifique architecture.
-Alors, pourquoi as-tu l’air triste?
-Je suis triste, parce qu’il y a des années, ce beau bâtiment, c’était un hôpital public.
-Mamy, c’est quoi un hôpital public?
-Et bien mon chéri, un hôpital public, c’était un endroit où les gens pouvaient être soignés.
Peu importait leur niveau social!
C’était gratuit!
-Gratuit? J’connais pas ce mot. Qu’est-ce que ça veut dire, gratuit?
-Oui, c’est vrai, qu’en 2040, ce mot a été supprimé du vocabulaire.
GRATUIT, ça voulait dire qu’on ne payait pas.
-Quoi? On ne donnait pas d’argent pour être soigné?
-Oui, heu … enfin, presque. Ça voulait dire qu’avant, les gens payaient des impôts pour que les gens malades ou blessés puissent bénéficier des traitements nécessaires pour récupérer leur santé. Y’avait une caisse avec de l’argent qui servait à tout le monde.
Jadis, être soigné était un droit fondamental.
Oui, c’était bien.
-Mamy, pourquoi ça n’existe plus l’hôpital public en 2049?
– C’est une peu compliqué de tout t’expliquer, Mais y’a un moment où notre système a cessé d’être solidaire.
On a décrété que l’hôpital public coûtait trop d’argent à la société, alors, on a commencé à réduire les effectifs des travailleurs, on les a méprisés, on leur a demandé de fonctionner comme une entreprise.
D’aller plus vite,
D’être rentables.
-Alors, ceux qui soignaient, en fait, n’avaient plus de temps pour ceux qui étaient malades, c’est ça?
-C’est ça, mon amour! Au fur et à mesure, le système a détruit leur vocation et paradoxalement, ce sont les soignants qui sont tombés malades, d’épuisement! Ils ont perdus leur belle énergie, et beaucoup ont démissionné!
-Pourquoi personne les a aidés, Mamy?
-À ce moment-là, en France, vers 2020, t’avais beaucoup de problèmes, et l’hôpital public passait pour un problème comme un autre, comme une sorte de privilège.
Seulement dans les discours politiques, on nous disait que nous étions des privilégiés, que nous étions réfractaires au changement.
On nous disait que dans certains pays, il n’existait pas, ce droit à être soigné. Alors plutôt que de se battre pour un système de santé, solidaire, mondial, plutôt que de niveler les peuples vers le haut, au fil des années, on nous a nivelés vers le bas.
Et plus tard, on nous a supprimé nos droits, en nous disant qu’il fallait faire des économies.
Et on nous a dit que c’était ça, LE PROGRÈS!
-Ah, ça veut dire qu’à partir de 2020, y’avait plus d’argent en France?
-Non mon cœur, y’avait de l’argent, mais il était très mal réparti.
Mais peu importait ce qu’on votait.
Nous appartenions à un système dans lequel l’argent devait rapporter de l’argent.
Évidemment, l’hôpital public ne rapportait pas d’argent à la société, il en coûtait. Alors, petit à petit, le système l’a désintégré.
-Pourtant ça devait être bien, si tout le monde pouvait être soigné gratuitement! Wouah! La CHANCE!
-Eh bien tu vois mon cœur, toi qui es né en 2043, tu penses qu’être soigné gratuitement, c’est une chance.
Moi qui suis née en 1979, je pense qu’être soigné gratuitement, c’est un DROIT!
C’est ce que le système veut nous faire croire.
Il nous fait croire qu’être bien traité dans une société, c’est payant.
Au fur et à mesure, tout est devenu payant et très cher.
Être bien traité est devenu un luxe qu’on ne peut pas TOUS s’offrir, même si on a travaillé toute sa vie.
-Mais toi, Mamy, t’es malade. T’as d’l’argent pour être bien soignée?
-Non! Non mon chéri! J’peux pas m’offrir les traitements d’un hôpital ou d’une clinique privée, ma retraite est bien trop faible.
Mais, t’inquiète pas, ta Mamy est maligne.
Elle arrive à dealer quelques fioles de morphine au marché noir, pour ne pas trop souffrir.
-Mamy je t’aime.
– Moi aussi je t’aime, mon chéri.
Mais j’aurais dû t’aimer d’avantage en réagissant, quand vers 2020, ce système a commencé à supprimer toutes les notions solidaires.
Je te demande pardon de t’avoir légué une société si égoïste et si inégale.
J’aurais dû me lever, m’opposer.
Et à la place de cela, je suis resté engluée dans mon petit confort, car j’étais encore jeune, active, jamais malade.
Je me suis contentée de poster mon indignation sur les réseaux sociaux et cela n’a servi à rien.
La société solidaire est morte comme je mourrai, moi:
Pauvre, Honteuse et Triste.

4 éme partie
RTL découvre l’antisémitisme


Le journal d’RTL commence par cette “information”
Une étude… bla bla bla bla.,.
1 JUIF SUR 3 se sent menacé parce que juif.
Quelle surprise!
L’un parle des “Territoires perdus…”
L’autre dénonce l’exode des juifs de certains départements de la périphérie.
Certaines synagogues organisaient jusque 7 offices, chaque matin.
Les salles de prières étaient bondées.
On peine aujourd’hui à trouver un MINIAN.
En Israël, on parle français du Nord au sud.
Preuve des ALYA de masse.
Et RTL invite Maître Badinter pour parler de l’antisémitisme.
Certes, c’est un homme au parcours remarquable.
Mais en 2020, caractériser l’antisémitisme d’absurdité est … absurde.
Ne pas parler de DANGER MORTEL est de l’inconscience.
Un prédicateur parlait sur FB du port de la Kippa dans la rue.
C’est sans doute facile à Saint Paul ou à Strasbourg.
Mais, quand il m’arrive de voir des jeunes gens ( et des moins jeunes) reconnaissables à leur tenue vestimentaire, se déplacer dans certaines banlieues, je suis très inquiet.
Quand Maître Badinter dit qu’il ne quittera pas la France, parce qu’il y est né, je dis “grand bien lui fasse

Ne jamais oublier:
On ne réécrit pas l’histoire, mais elle bégaye.
Et au bout de 2000 ans, ce n’est plus du bégaiement.
C’est une infirmité totale.
Quand la 1 ère radio de France présente ce sujet comme une découverte du jour, il y a lieu de s’alarmer.
Ilan, Sarah et les autres.
C’était quoi? Des victimes de fumeurs de H?
Aussi, me suis-je précipité sur le journal de TF1, j’ai scruté le Replay d’A2, pas un mot sur l’antisémitisme.
Pas plus que sur les centaines d’avion parqués à Davos, pour nous recommander “d’éviter” de voyager en avion.
A cause de “dérangement climatique.”
Je soupçonne le déraillement cérébral.
Pas un mot sur le duel verbal opposant le Président des États Unis à la petite fille (présumée) de Soros. Une certaine Greta.
Mais un mot est passé par toutes les bouches: IMPEACHMENT.
Et le plus beau, chaque fois que ce mot est prononcé, il est bien précisé que Trump ne risque rien.
Je sais qu’on doit choisir les priorités.
Quand elles sont à ce point inutiles,
Cela me rappelle une citation:
Les grandes civilisations artistiques furent des civilisations ou l’inutile était nécessaire.
Et la nôtre, qui n’a rien d’artistique, passera peut-être pour du grand art.
Dans quelques siècles.
Triste héritage pour nos descendants.

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