Quand l’Iran pend ses Kurdes et ses poètes, sous nos yeux, par Sarah Cattan

Ramin Hossein Panahi
Zanyar Muradi.
Lokman Murad.

Ils ont tous les trois été pendus.
A l’aube forcément.
Pour dissidence.

L’un d’eux, Ramin Hussein Panahi, était un poète.
Son dernier souhait ? Il a demandé à boire.
De l’eau.
Iran. Septembre 2018. Sous nos yeux.


« Demain, grâce à vous, il n’y aura plus pour notre honte commune, des exécutions furtives, à l’aube, sous le dais noir, dans les prisons françaises. »

Robert Badinter. Discours à l’Assemblée nationale sur l’abolition de la peine de mort. 17 septembre 1981.

Sarah Cattan

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3 Comments

  1. l'”iran” conjugue voyoucratie d’état, dictature arrogante, fascisme vert, antisémitisme purulent…aidé par le néo-tsar mussolinien, ses jours sont comptés car détesté par les peuples et nationalismes arabes et turcs…c’est le renouveau du passé…bis repetita.

  2. C’est là qu’on attendait Paris, Berlin, Madrid, Rome et Londres… Où étaient-ils ?
    Et la voix d’Amnesty International, où était-elle ?
    Personne n’a rien entendu.
    Terrible ce qui se passe en 2018 ! ça ne présage vraiment rien de bon pour le futur…

    • Si vous voulez entendre les voix de PARIS, BERLIN , LONDRES ….. pendez un terroriste palestinien qui a égorgé toute une famille juive , et AMNESTY International mettra le monde entier sens dessus dessous !!!

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