
Après un an de silence médiatique assourdissant, l’affaire Leila Y. éclate enfin au grand jour. Cette nourrice algérienne de 42 ans comparaîtra demain, mardi 9 décembre, devant le tribunal judiciaire de Nanterre. Accusée d’avoir délibérément intoxiqué trois enfants juifs âgés de 2, 5 et 7 ans avec des produits ménagers, elle risque une lourde peine pour tentative d’empoisonnement motivée par la haine antisémite.Les faits remontent à janvier 2024. Employée par une famille juive, Leila Y., algérienne, aurait versé des substances toxiques dans les biberons et assiettes des enfants, les exposant à un grave danger pour leur santé. Placée en détention provisoire en février 2024, elle fait l’objet d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français). L’enquête a révélé un mobile haineux, transformant ce qui pouvait passer pour un simple accident domestique en un acte odieux.
Pourquoi ce black-out médiatique ?
Cette affaire n’est pas récente, vu que la prévenue est en détention. Ce qui me dérange, c’est que cette affaire sorte aujourd’hui.
Pourquoi n’en a-t-on pas entendu parler auparavant? Ce ne peut être parce que l’auteur est algérienne ?!
Sauf erreur de ma part, avez-vous trouvé des articles qui, à l’époque des faits, en ont parlé ? Tout prouve qu’il existe un filtre sur les affaires d’antisémitisme puisqu’aucun article dans le passé n’en a parlé.
Qui filtre et pourquoi ?
Redisons-le haut et fort: l’affaire Leïla Y., nourrice algérienne de 42 ans accusée d’avoir intoxiqué aux produits ménagers une famille juive (trois enfants de 2, 5 et 7 ans) en janvier 2024, n’a fait l’objet d’aucune couverture médiatique à l’époque. Placée en détention provisoire et sous OQTF dès février 2024, elle comparaît le 9 décembre 2025 à Nanterre.
Et c’est bien l’absence totale de publications jusqu’au procès qui explique la soudaine médiatisation actuelle.

© Collectif des Vigilants

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