Le samedi 13 décembre prochain, le CERIF organise un grand colloque international sur le thème « femmes face à l’islamisme », en partenariat avec le conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes.
🎯 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐜𝐞 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐨𝐪𝐮𝐞 ? 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐦𝐚𝐢𝐧𝐭𝐞𝐧𝐚𝐧𝐭 ?
Depuis plusieurs années, les dynamiques islamistes s’intensifient :
• dans les institutions,
• dans l’espace public,
• dans les discours identitaires,
• dans les mécanismes d’emprise sur les femmes.
Pourtant, 𝐥𝐚 𝐩𝐚𝐫𝐨𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐚𝐧𝐚𝐥𝐲𝐬𝐞𝐧𝐭, 𝐨𝐛𝐬𝐞𝐫𝐯𝐞𝐧𝐭, 𝐝𝐨𝐜𝐮𝐦𝐞𝐧𝐭𝐞𝐧𝐭 𝐨𝐮 𝐜𝐨𝐦𝐛𝐚𝐭𝐭𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐞𝐬 𝐩𝐡𝐞́𝐧𝐨𝐦𝐞̀𝐧𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞 𝐭𝐫𝐨𝐩 𝐬𝐨𝐮𝐯𝐞𝐧𝐭 𝐢𝐧𝐯𝐢𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐬𝐞́𝐞.
Le 13 décembre, nous avons choisi de leur donner toute la place.
✔️ Des chercheuses qui travaillent sur les réseaux fréristes.
✔️ Des psychanalystes qui analysent l’emprise.
✔️ Des juristes qui étudient les tribunaux chariatiques.
✔️ Des militantes qui défendent les femmes quittant l’islam dans des environnements hostiles.
✔️ Des journalistes iraniennes, égyptiennes, tunisiennes, qui connaissent aussi ce combat de l’intérieur.
Ce colloque est un outil de compréhension, mais aussi un acte de lucidité démocratique.
Je serais heureuse de vous y accueillir.
🔗 Inscription : https://lnkd.in/dwaH7FQg
hashtag#colloque hashtag#laïcité hashtag#démocratie hashtag#femmes hashtag#CERIF
L’intervention de Yana Grinshpun
« Le CERIF, dirigée par Florence Bergeaud-Blackler, organise un colloque su l’idéologie du jihad et les femmes. Mon exposé portera sur le sort des femmes israéliennes le 7 octobre à la lumière de l’idéologie du jihad. Les sources classiques du droit musulman qui définissent le djihad comme une guerre légitime et, dans certaines écoles, obligatoire, visant à étendre l’autorité politique et juridique de l’islam. Dans cette perspective doctrinale, le Hamas, branche palestinienne des Frères musulmans, inscrit son combat contre les Juifs dans une vision eschatologique structurant l’affrontement avec Israël comme une lutte métaphysique entre le Bien et le Mal. Les évènements du 7 octobre, au cours desquels des femmes israéliennes ont été tuées, brutalement violées, prises en otage révèlent une logique spécifique : ces femmes ont été traitées comme un butin de guerre, conformément à des représentations héritées de statuts historiques réservés aux femmes non musulmanes dans les contextes de conquête. En m’appuyant sur les documents stratégiques produits par les dirigeants du Hamas, ainsi que sur le rapport Dinah et le rapport présenté aux Nations unies par Pramila Patten, j’analyserai les violences sexuelles commises le 7 octobre à la lumière de l’idéologie islamiste qui les sous-tend ».
Florence Bergeaud-Blackler
Florence Bergeaud-Blackler, Présidente du CERIF (Centre Européen de Recherche et d’Information sur le Frérisme). Docteur en Anthropologie (HDR) CNRS, PSL Université Paris Condorcet
Bravo à ces femmes pour leur courage. Ce colloque international « femmes face à l’islamisme, elles informent et dénoncent l’islamisme dans le monde, les femmes sont les premières victimes de ces barbares.