A Gaza, il n’y avait personne pour protéger les otages, hommes et femmes juifs, de la violence sexuelle. Par Daniel Sarfati

Guy Gilboa Dalal

Il faut du courage pour en parler. 

Guy Gilboa Dalal, un des derniers otages vivants libérés, a révélé les abus sexuels dont il a été victime, de la part de son geôlier. 

Dans les tunnels du Hamas, Guy était, la plupart du temps, enchaîné à une chaise. 

Le terroriste qui le détenait lui a d’abord demandé si il voulait voir un porno, ou si il voulait tourner une vidéo porno avec lui. 

Une autre fois, alors que Guy était autorisé à se doucher, le même terroriste a sorti son sexe et s’est frotté contre lui, sous la menace de son arme. 

Guy lui a dit que c’était interdit par l’islam. 

Le terroriste lui a promis qu’il l’abattrait si il en parlait aux autres geôliers. 

Hier, à Paris et en France, se sont tenues de manifestations pour exprimer la colère contre les violences faites aux femmes. 

Selon les militantes féministes :

« Une femme est victime toutes les deux minutes de viol, tentative de viol ou d’agression sexuelle et toutes les vingt-trois secondes de harcèlement sexuel, d’exhibition sexuelle ou d’envoi non sollicité de contenus à caractère sexuel. »

Un combat donc, juste et essentiel. 

Mais ces mêmes féministes ont rajouté :

« Nous refusons de défiler avec les sionistes du collectif « Nous vivrons » et leurs soutiens réactionnaires ». 

Le collectif « Nous vivrons » est né au lendemain du pogrom du 7 octobre, pour dénoncer les viols, et les mutilations sexuelles qu’ont subi les femmes juives par les hordes du Hamas. 

« Nous étions â la manifestation pour dénoncer l’invisibilisation et la silenciation des femmes juives. »

À Paris hier, il a fallu un cordon de policiers pour protéger les militantes de « Nous vivrons » du reste des manifestantes dites « féministes et progressistes ». 

A Gaza, il n’y avait personne pour protéger les otages, hommes et femmes juifs, de la violence sexuelle. 

Les organisations féministes et LGBT qui ne veulent pas le dénoncer sont les complices de cette barbarie.

© Daniel Sarfati

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1 Comment

  1. Ces néo-féministes à géométrie variable – qui acceptent que des femmes soient violées et même invisibilisées (tout dépend desquelles) et qui osent exiger que des violeurs ne soient pas dénoncés (tout dépend desquels) ne sont que de grossiers et honteux imposteurs.

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