Par Abraham Chicheportiche

Le 7 octobre 2023 restera comme le jour où le Hamas a commis l’erreur stratégique la plus catastrophique de l’histoire palestinienne. Ce matin-là, ils pensaient frapper un grand coup, humilier Israël, réveiller le monde arabe, et inverser le cours de l’histoire. Ils n’ont réussi qu’à signer la ruine de Gaza et à dévoiler, une fois encore, la vérité brutale : on ne construit pas un État sur la haine, le fanatisme et le sang d’enfants.
Car Israël n’a pas choisi cette guerre. Il l’a subie, dans la chair de ses citoyens massacrés, brûlés, enlevés. Et quand un pays démocratique, moderne, prospère, voit ses familles massacrées dans leurs lits, il ne tend pas l’autre joue : il se défend. Il se relève, il riposte, il détruit ceux qui ont juré sa disparition.
Le Hamas a voulu tester la résilience d’Israël — il a découvert sa fureur. Il a parié sur la faiblesse morale de l’Occident — il a trouvé un mur d’acier. Car au fond, il n’y a qu’une vérité : chaque roquette tirée, chaque tunnel creusé, chaque bouclier humain utilisé ne rapproche pas les Palestiniens de la liberté, mais les en éloigne.
La libération de Gaza ne viendra pas d’un missile, mais de la fin du Hamas. Israël, lui, n’a pas le luxe de perdre. Il se bat non pour un territoire, mais pour son existence. Et dans cette guerre qu’on lui a imposée, il ne cédera ni à la culpabilité feinte ni à la désinformation.
Le 7 octobre, les Palestiniens ont ouvert la porte de l’enfer. Israël, lui, s’assure qu’elle se referme — pour de bon.
Ceux qui ont célébré le 7 octobre ont révélé le pire visage de l’humanité.
Ils ont applaudi le meurtre d’enfants, le viol de femmes, la mutilation de vieillards.
Ils se disent “militants”, mais ils ne sont que complices de barbarie.
Ils n’ont pas soutenu une cause : ils ont sanctifié un massacre.
Leur joie obscène, leurs cris de haine dans les rues d’Europe, resteront une tache morale indélébile.
Ils ont cru célébrer une victoire, mais ils ont signé leur propre faillite morale.
Car on ne triomphe pas en dansant sur des cadavres, on s’y enfonce.
L’histoire retiendra leurs visages, leurs slogans, leurs silences complices.
Ils ont voulu humilier Israël ; ils ont déshonoré l’Occident.
Le 7 octobre, ils ont prouvé que la barbarie ne commence pas à Gaza — mais dans les esprits corrompus qui l’applaudissent.
Les pro-palestiniens d’aujourd’hui ne défendent plus un peuple, ils excusent des bourreaux.
Ils se drapent dans les mots “justice” et “droits humains”, mais ferment les yeux sur les crimes du Hamas.
Leur compassion est sélective, leur indignation à géométrie morale.
Ils parlent de “résistance”, mais applaudissent le terrorisme.
Ils prétendent aimer la paix, tout en justifiant la haine.
Les médias et les ONG ont troqué la vérité contre le récit le plus vendeur.
Ils pleurent sur Gaza, mais taisent les crimes du Hamas.
Leur indignation est calibrée, leurs titres écrits avant les faits.
Ils ont fait du mensonge une arme humanitaire.
Sous couvert de morale, ils servent une propagande.
La France, l’Espagne, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et quelques autres ont cru bon de “reconnaître” un État palestinien fantoche.
Un geste creux, diplomatique, moraliste — mais surtout irresponsable.
Ils confondent un État avec une organisation terroriste retranchée dans des tunnels.
Ils réécrivent la géographie pour plaire aux dictatures islamiques, aux foules et apaiser leurs consciences.
Reconnaître un État dirigé par le Hamas, c’est légitimer le massacre du 7 octobre.
C’est piétiner le droit, récompenser la terreur et punir la démocratie.
L’Histoire retiendra qu’en voulant flatter l’opinion, ils ont trahi la raison.
Les chaînes du service public se sont muées en porte-voix de la bien-pensance militante.
Elles prétendent informer, mais sélectionnent les images pour façonner l’émotion, pas la vérité.
Chaque reportage sur Israël est un procès ; chaque sujet sur Gaza, une absolution.
Les mots “terroristes du Hamas” ont disparu, remplacés par “combattants” ou “miliciens”.
Leur impartialité est un souvenir, leur déontologie un slogan creux.
Avec notre argent, elles diffusent la propagande des bourreaux.
Elles ont troqué le journalisme pour le militantisme.
Et pendant qu’elles s’indignent à l’écran, les otages restent invisibles.
les journalistes sont les seuls à pouvoir écrire sur n’importe quoi — même quand ils ne savent rien.
L’ONU et l’UNRWA sont devenues les complices bureaucratiques du mal qu’elles prétendent combattre.
Sous couvert d’humanisme, elles entretiennent la haine génération après génération.
Leur argent nourrit le Hamas, leurs écoles enseignent le martyre plutôt que la paix.
Chaque résolution contre Israël est une médaille de vertu pour leurs hypocrisies diplomatiques.
Elles parlent de “droits”, mais refusent la responsabilité.
Elles se taisent sur les otages, mais hurlent dès qu’Israël se défend.
L’ONU n’est plus un arbitre : c’est un théâtre de la lâcheté.
Et l’UNRWA, son bras armé idéologique, a transformé Gaza en camp de propagande permanente.
Au fond, tout se résume ainsi : le 7 octobre a révélé deux camps — ceux qui défendent la civilisation, et ceux qui justifient la barbarie.
Et que la justice triomphe, comme le soleil après la tempête.
Am Israël Haï — le peuple d’Israël vit, et vivra à jamais.

Israël, le seul pays dont certains prônent ouvertement la destruction, l’anéantissement, le massacre de ses habitants, se défend comme un lion. Pas pour le plaisir, mais parce qu’il n’y pas d’autre choix. Am Israël chai
Oui Israël s’est défendu comme un lion!Vive Bibi et heureux les peuples (j’ en vois pas beaucoup,en tout cas pas chez nous)qui ont de tels hommes à leur tête ! Aux autres, j’ai pas envie de leur dire honte à vous (ils connaissent pas ce sentiment,mais : Soyez maudits. Soyez maudits étudiants qui n’avez pas quitté votre amphi quand vos camarades juifs étaient conspués, Soyez maudits journalistes cireurs de bottes,soyez maudits manifestants pro palestiniens,haineux, antisémites jusqu’à la moelle,soyez maudits humanitaires de pacotille, soyez maudits tous ceux qui à travers le monde se liguent pour exclure Israël de toute manifestation culturelle, et vous aussi les ridicules pantins des flottilles humanitaires.Et maintenant qu’Israel a gagné, je suis bien certaine que votre indignation se dégonflera comme une baudruche. Israël a tenu bon , Israël n’est pas à votre image, Israël se fout du paraître, se fout de l’opinion mondiale ,et a bien raison.Que vaut elle cette opinion, lâche,versatile,immorale? Personne pour demander,comment se fait il que des otages reviennent dans des cercueils.Mais, je veux laisser la place à la joie, la joie du retour des otages et la joie de la victoire d’Israël. Hélène .
Hamas a fait la plus grande erreur en s’imaginant Israel humilié et vaincu; il a voulu terroriser Israel, alors Tsahal a détruit leurs maisons leurs mosquées, a éliminé des terroristes par milliers.Le D.ieu d’Israel est amour, mais il est aussi vengeance. Voilà ce qui arrive quand on s’en prend à notre peuple, notre Terre sacrée.
Monsieur, pour rebondir sur ce que vous dites à propos des médias, ce vendredi matin 10 oct 25, j’ai écouté le journal de 7h00 de France Info :
« Jared Kuchner et Steeve Witkoff sont venus en Israel à la demande de D.Trump pour participer au conseil des ministres, où JUSQU’AU DERNIER MOMENT ils se sont assurés que B. Netanyaou ne TORPILLE PAS l’accord. » Et aussi de se prémunir d’un ministre d’extrême droite « du gouvernement Netanyaou » qui a voté contre l’accord….
Il fut un temps pas si lointain où Trump lui-même était nommé « le miliardaire américain », était traité de fou, de mysogine, de corrompu, de tous les noms d’oiseaux sauf d’être un homme sérieux, ect…
Hier sur France Info encore, Bargouti était présenté avec emphase comme le « Mandéla palestinien »…rien que ça !
Les français sont matraqués tous les jours et de manière systématique par ce genre de propos médiatiques de gauche. Ce sont des mensonges et un procès à charge perpétuel contre Israel. Mis à part le jour même du 7 oct 2023, jamais dans le discours médiatique un mot de compassion, ou de compréhension, ou même de subtilité ou de complexité pour le peuple israelien ou pour la complexité de la politique israelienne. Israel a toujours tort, toujours, c’est une vérité absolue qui n’a pas besoin d’être démontrée. Que les juifs subissent, ou qu’ils se battent, ou qu’ils célèbrent la paix : ils ont toujours tort, ils sont mus par des arrières pensées mauvaises…
Mais en France tout cela « ne se passe pas dans un vide » comme dirait le secrétaire général de l’ONU. Ou plutôt si. Dans le vide des réactions, dans la compromission : les responsables communautaires ne réagissent jamais contre ce monde de gauche qui profite de l’outil de propagande entre leur main pour semer la haine contre nous.
Et quid du silence des institutions juives dans l’acceptation de l’immigration massive et incontrolée en France sur laquelle s’appuie la gauche et l’extrême gauche pour, en nous piétinant, s’élever aux responsabilités ?
Jusqu’à quand cette compromission ?!
Ne comprennent-ils rien ? Où ne sont-ils que des larbins du pouvoir ?
Je penche pour la 2eme proposition.
« Et quid du silence des institutions juives (DE GAUCHE) dans l’acceptation de l’immigration massive et incontrôlée en France sur laquelle s’appuie la gauche et l’extrême gauche pour, en nous piétinant, s’élever aux responsabilités ?
Jusqu’à quand cette compromission ?!
Ne comprennent-ils rien ? Où ne sont-ils que des larbins du pouvoir ?
Je penche pour la 2eme proposition. »
N’empêche, ils ont réussi à prouver qu’ils avaient d’innombrables partisans en occident, et des complices parmi les chefs d’Etat européens, tels Emmanuel Macron et Pedro Sanchez. Le Hamas a peut-être (et les avis sont partagés) subi une grave défaite à Gaza grâce à l’héroïsme des soldats Israéliens, mais ses alliés et lui peuvent se consoler en sachant qu’ils ont conquis les 2/3 des pays de l’UE, l’Irlande l’Angleterre et le Canada.