
Huit ans après son arrivée au pouvoir, trois ans après sa réélection de 2022 et compte tenu de l’explosion de l’antisémitisme en France, nous voudrions ici poser la question qui fâche : qu’est-ce que l’antisémitisme de 2025 en France doit réellement à Emmanuel Macron ?
Plusieurs arguments viennent effectivement soutenir une réponse à cette question dérangeante qui se pose pleinement dans toute sa crudité.
En effet, depuis huit ans, Emmanuel Macron a louvoyé en permanence, en paroles et en actes, entre une empathie pour les Juifs morts dans le passé, mais néanmoins toujours manipulables et instrumentalisés à des fins politiciennes, et un mépris pour les Juifs vivants que sa politique a livré à la haine des antisémites ou aux couteaux de l’islamisme.
Non seulement, le positionnement de moins en moins ambigu d’Emmanuel Macron sur l’antisémitisme montre qu’il l’a laissé prospérer depuis des années, ayant objectivement choisi de ménager les antisémites, mais de surcroit le président de la République acte la recrudescence d’un « nouvel antisémitisme » au 7 octobre 2023.
Une analyse fausse de bout en bout pour un homme qui a répété ad nauseam depuis 2017 qu’ « il ne lâchera rien », qu’ « il se battra », qu’ « il ne cédera rien », qu’ « il ne laissera rien passer », ayant en réalité tout cédé et laissé passer toutes les intolérances au nom de la tolérance, son tropisme personnel pour le révisionnisme, le négationnisme, la censure, l’anarchie et le chaos ayant été déclinés en politique d’Etat.
En effet, si le 7 octobre 2023 marque un séisme en Israël et dans le monde – le massacre de 1200 victimes froidement exécutées quand elles ne furent pas violées, décapitées, mutilées ou brûlées vives représente, à l’échelle d’un pays comme Israël, 12 fois les morts des Twin Towers le 11 septembre 2001 et 65 fois les morts du Bataclan ! –, le volcan de l’antisémitisme qui entre en éruption dans les jours qui suivent le 7 octobre montrait déjà, depuis des décennies, un grand nombre de signes précurseurs. Des signes précurseurs que l’on peut retrouver dans les écrits de toute une intelligentsia de Gauche (Genet, Sartre, Garaudy, Deleuze,…)[1], qui fut compagnon de route de tous les totalitarismes : soviétique, castriste, chinois, khmer, « palestinien », … et islamique, tous les orphelins du communisme ayant semé les premières graines de l’islamo-gauchisme, Sartre étant, en 1978, le président d’un comité de soutien à l’ayatollah Khomeiny, qualifié de « saint homme » par Foucault. Des signes précurseurs que l’on peut également retrouver dans ce reniement de la France face à l’islam politique symbolisé par l’affaire dite du foulard islamique[2]. Des signes précurseurs qui deviennent franchement visibles, dès les années 2000, les métastases de la gauche plurielle (gauche du PS, PC, écologistes) – la Gauche de monsieur Macron et de monsieur Mélenchon – important le conflit israélo-« palestinien » en France, pour complaire à un électorat d’origine arabo-musulman de plus en plus nombreux issu de banlieues en voie d’islamisation dont elle entend faire son nouveau prolétariat.
En pratique, la gauche dreyfusarde et philosémite qui – pacifisme total et pacte germano-soviétique obligent – s’était massivement engagée dans la Collaboration en fournissant en nombre des auxiliaires zélés du régime de Vichy, entre progressivement en résistance à partir de 1942 ; ses héritiers politiques qui arrivent au pouvoir en 1981 ont tout de même retenu quelques leçons du passé : l’antisémitisme post-Shoah ne saurait plus être racial ou chrétien, il sera donc politique ! C’est par le biais de l’antisionisme, une critique politique prétendument objective des gouvernements d’Israël – surtout s’ils sont de droite – que la gauche française, biberonnée à la doctrine Boniface et aux idées de Terranova, a ressuscité un antisémitisme décomplexé qui a fait d’Israël le Juif des Nations. Au prix d’une désinformation calomnieuse, malhonnête et toujours systématiquement à charge contre Israël et contre les Juifs de France supposés tous soutenir la politique de l’Etat hébreu, l’antisémitisme ressuscité par l’antisionisme retrouvait une justification acceptable entérinée à Durban (2001). Une critique virulente initiée dès les accords d’Oslo (1993) par la propagande médiatique de medias mainstream dont l’idéologie a été façonnée par tous les totalitarismes de gauche et dont le souci n’a jamais été ni l’information ni l’objectivité, mais bien plutôt sa capacité d’influence et son pouvoir à retourner l’opinion publique en balayant les arguments rationnels et en induisant des émotions jusqu’à jouer sur les plus bas instincts des masses par le mensonge, la manipulation, la falsification et le révisionnisme historiques. Une critique malhonnête d’Israël et une aversion jamais démentie pour le Juif en uniforme kaki qui a toujours combattu pour sa survie, mais invariablement mise en balance avec une empathie pour les Juifs en pyjama rayé, au nom d’une posture pseudo-morale qui permet en définitive à d’authentiques antisémites d’instrumentaliser la transmission de la mémoire de la Shoah pour montrer patte blanche et afficher une respectabilité et une morale qui ne sont, en réalité, que de façade. Vingt-cinq ans après Durban, des milliers d’agressions et quinze morts juifs français plus tard, assassinés par le couteau de l’islamisme parce que juifs, personne ne pourra sérieusement soutenir que l’éruption d’antisémitisme post-7-octobre survenait par hasard dans un pays qui a fourni un terreau idéologique favorable à une immigration musulmane pléthorique dont la culture est aussi imprégnée d’un antisémitisme atavique et de la haine d’Israël. Un terreau idéologique favorable fortement alimenté par des médias propagandistes, par le carcan de la politique étrangère et intérieure pro-arabe et par un laxisme judiciaire qui ont, tous, fourni les signes d’impunité et d’encouragement que pouvaient espérer les antisémites. Tous les signes précurseurs de l’explosion d’antisémitisme qui a suivi le 7 octobre étaient visibles depuis des décennies ; encore fallait-il accepter de les voir pour ce qu’ils étaient, alors que la corrélation entre un Israël bashing malhonnête et la montée incessante d’un antijudaïsme d’atmosphère a toujours été niée autant par les autorités d’occultation progressistes bien-pensantes que par les « représentants » de la communauté juive organisée.
Le bilan d’Emmanuel Macron relatif à la lutte contre l’antisémitisme doit, comme toutes les politiques, être jugé à ses résultats. Sans surprise, la compilation des rapports du SPCJ (Service de Protection de la Communauté Juive) montre une augmentation de 1400 % entre 2017 et 2024, et indique également que près de 60 % des actes antisémites ne donnent lieu à aucune condamnation, et ce laxisme judiciaire, – pour ne pas dire complicité d’une justice rouge – loin d’être dissuasif, est un encouragement pour tous les antisémites. Tout se passe en effet comme si la justice, prise en otage par des juges acquis à une idéologie d’extrême-gauche, avait pris le parti de dépénaliser l’antisémitisme assimilé depuis des années à une maladie psychiatrique, assurant des circonstances atténuantes voire une impunité aux criminels antisémites, les tenants de discours antisémites étant peu poursuivis et encore plus rarement condamnés. Depuis le 7 octobre 2023, cette justice rouge déploie une inertie toute particulière pour ne pas poursuivre l’apologie du terrorisme et faire traîner les plaintes.
La politique pénale sur l’antisémitisme étant définie par le pouvoir exécutif et votée par le pouvoir législatif, huit ans de macronisme sont aussi constitutifs d’un bilan et, si l’on peut faire crédit au Président de la République de 2017 d’affirmer vouloir lutter contre l’antisémitisme, force est de constater – comme sur tous les sujets – que l’Emmanuel Macron du mardi aura toujours consciencieusement défait ce qu’avait réalisé le Macron Emmanuel du lundi. Dans ce jeu à somme nulle mené par un équilibriste, il subsistera à jamais un bilan totalement indéfendable, sauf à être un allié objectif de l’antisémitisme.
Les états de service du Président de la République, qui se voulait « intraitable sur l’antisémitisme » mais qui ne défile pas contre l’antisémitisme le 12 novembre 2023, sont en effet éloquents :
-Instrumentalisation permanente de la Shoah à des fins politiciennes et partisanes ;
-Entêtement macronien à rendre hommage au maréchal Pétain, pourtant frappé d’indignité nationale ;
-Promotion d’un révisionnisme d’Etat sur la réhabilitation de la dhimmitude, sur la présence française (et juive) en Algérie et sur les votes systématiquement en faveur des résolutions révisionnistes contre Israël à l’UNESCO et à l’ONU) ;
-Impunité du meurtrier antisémite de Sarah Halimi qui se promène aujourd’hui en toute liberté sans jamais avoir été poursuivi ni jugé ;
-Torpillage de la Commission d’enquête parlementaire sur l’affaire Sarah Halimi de manière partisane par le parti présidentiel (le Président Meyer Habib (UDI) refusant de signer le rapport de la députée rapporteur LREM), un rapport destiné à ne pas faire de vagues et à étouffer l’affaire ;
-Boycott d’Israël à deux salons aéronautiques : Eurosatory 2024 et Le Bourget 2025 ; un boycott ordonné par Emmanuel Macron, parfaitement équivalent à celui pratiqué sur les magasins juifs dans l’Allemagne nazie des années 1930 ;
-Déclaration négationniste abjecte d’Emmanuel Macron sur la création de l’Etat d’Israël ;
-Collusion d’Emmanuel Macron avec une justice politisée à l’extrême-gauche qui considère l’antisémitisme comme une maladie psychiatrique, et non comme un crime, les victimes de l’antisémitisme et leurs familles, comme celle de Mireille Knoll, vivant un parcours du combattant pour faire reconnaitre le caractère antisémite de leurs plainte ;
À ce passif déjà lourd, il convient aussi d’ajouter le ratage jupitérien d’un président qui a voulu faire de l’antisémitisme une cause nationale. On se souviendra que le parti présidentiel présenta en décembre 2019 une résolution (non contraignante par définition) destinée à lutter contre l’antisémitisme et son faux-nez, l’antisionisme. Au Président du simulacre et au parti présidentiel des vœux pieux répondit la désertion de l’hémicycle par 53% des députés de la représentation nationale au moment du vote de la résolution n°2403. C’est en réalité une adoption par défaut qui eut lieu, puisqu’à peine plus d’un quart de la représentation nationale (26,7 % exactement) se prononça en faveur de ce texte (154 votes favorables, 72 votes contre, soit 226 suffrages exprimés pour 269 députés présents, et 308 députés partis à la pêche !).
Ainsi, en matière d’antisémitisme, comme sur tous les autres sujets, le bilan d’Emmanuel Macron parle pour lui. Huit ans après son arrivée au pouvoir, les commentateurs politiques les plus avisés s’évertuent toujours à décrypter les positions erratiques du Président, mais il s’agit bien d’une politique logique, cohérente et structurée. Une politique structurée par le révisionnisme et le négationnisme – toutes les initiatives mémorielles depuis 2017 n’ont recueilli du côté des victimes que dégout et colère – que le président Macron décline au gré de ses humeurs et au nom d’une « philosophie » qu’il a héritée de son mentor, Paul Ricœur, philosophe pétainiste de 1939 à 1944, faussaire de sa propre histoire qu’il s’ingénia à escamoter jusqu’à sa mort en 2005, et qui, comme philosophe de l’Histoire, de la Vérité, de la Mémoire, et de l’Oubli, souhaitait escamoter la Shoah dont on parlait, à son avis, beaucoup trop !
Chacun jugera donc si les quelques hochets (Pourim et ‘Hanoucah à l’Elysée, promotion du colonel Dreyfus au grade de général, institution d’une « journée » du capitaine Dreyfus, décorations de « représentants ») distribués à la communauté juive organisée suffiront à effacer le passif désastreux d’Emmanuel Macron sur l’antisémitisme depuis 2017. Nous laisserons à la sagacité du lecteur le soin de décider si, dans un pays où il y a une agression antisémite tous les trois jours, où l’antisémitisme motive 55% des agressions ciblant 0,7% de la population, les positions, les déclarations et le bilan d’Emmanuel Macron doivent le désigner comme un antisémite, comme un philosémite, ou, balle au centre, comme le Monsieur Loyal de l’antisémitisme en France, digne de délivrer bons et mauvais points.
Si, à ce stade, la conviction du lecteur n’était cependant toujours pas établie, nous pourrions ajouter au bilan macronien la libération à venir du terroriste Georges Ibrahim Abdallah condamné à perpétuité ou encore le nouveau décret présidentiel accordant le statut de réfugié à tous les Gazaouis, populace complice des razzias terroristes du 7 octobre 2023 en Israël, issue d’un peuple et d’une cause factices créés sur les fonts baptismaux du nazisme, ayant prospéré grâce au communisme et au terrorisme et dont le généreux apport au monde comporte : bombes, attentats, roquettes, antisémitisme, boycotts, subversion, terrorisme, morts,…, et c’est très exactement pourquoi leurs frères arabes de Jordanie, de Syrie, de Jordanie ou d’Egypte n’en veulent surtout pas chez eux ! A défaut de liquider son palestinisme avant qu’il ne le liquide, Emmanuel Macron risque de liquider l’antisémitisme, non pas par l’application d’une politique résolue et d’une justice intransigeante envers les antisémites, mais par l’escamotage du fait antisémite déjà minoré ou invisibilisé par des médias mainstream qui ont, il est vrai, depuis des années, largement contribué à son expansion. Pour ce faire, Emmanuel Macron pourra aussi compter sur Aurore Bergé et les petites mains du macronisme ou du wokisme : CRIF et SOS Racisme en tête pour préserver les apparences de cette France Potemkine, où l’antisémitisme explose, où les libertés individuelles sont menacées et le récit du réel contrôlé, fut-ce par la censure. Tout comme l’ARCOM devenue la STASI de l’information, la délégation de responsabilités gouvernementales régaliennes à des associations partisanes proches du pouvoir sont une menace autant pour l’antisémitisme qui ne faiblira pas que pour les libertés individuelles. L’antisémitisme, ce sont toujours les Juifs qui en ont le mieux parlé, mais en matière de lutte contre l’antisémitisme, réel ou en ligne, le bilan du CRIF est inexistant : les « représentants » du judaïsme ayant toujours préféré ne pas faire de vague ont objectivement fait le jeu de l’antisémitisme quand ils n’en ont pas été les idiots utiles. Quant à SOS Racisme, l’association « antiraciste » d’extrême-gauche a objectivement réalisé la prophétie de Baudrillard et « sauvé le racisme ». Elle a aussi concrètement contribué à la montée de l’antisémitisme depuis au moins 25 ans, gardant un silence assourdissant sur l’antisémitisme rabique de LFI, l’auteur de ces lignes ayant aussi personnellement assisté à la révélation inattendue de l’imposture de SOS Racisme et de son président d’alors au cours d’une conférence sur le racisme et l’antisémitisme à Strasbourg, pendant que ses militants, prétendument antiracistes, déposaient des tracts antisémites et violemment anti-israéliens sur les voitures alentours. Dans cette France orwellienne qu’il a installée depuis 2017, Emmanuel Macron, le président le plus hostile aux Juifs depuis Pétain, aura toujours fait le jeu de l’antisémitisme jusqu’à l’escamoter ; les nouveaux censeurs de l’antisémitisme à son service seront donc ceux qui l’ont objectivement fait progresser. Orwellien !
Notes
[1] Lire « L’autre Collaboration », Michel Onfray, Plon, 2025
[2] En 1989, dans le contexte des célébrations du bicentenaire de la Révolution Française, survient l’affaire dite du foulard islamique qui concerne plusieurs jeunes filles qui, soudainement, arrivent voilées à l’école publique de Creil et se font exclure parce qu’elles refusent de l’enlever en classe. Défendant les principes de la laïcité républicaine, les enseignants et la directrice seront pourtant désavoués par leur hiérarchie, recteurs et inspecteurs jusqu’au ministre, Lionel Jospin, qui, dans un « souci d’apaisement » tranche pour une voie moyenne, mais qui est en fait une capitulation : le port du voile sera autorisé uniquement à l’extérieur de l’enceinte scolaire. Tous les arrêts des hautes juridictions iront dans le même sens : celui de l’installation du foulard islamique dans l’espace public. La laïcité républicaine évolue donc du « ni…ni… » vers le « et…et… », les pouvoirs publics – le Ministre de l’Education de l’époque, Lionel Jospin, en tête – faisant droit aux revendications communautaires et communautaristes d’un islam dont le dogme est pourtant aux antipodes de la laïcité républicaine, en transigeant et en capitulant au nom d’une repentance injustifiée et mal placée et dans l’espoir aussi naïf qu’illusoire que les populations immigrées s’intègrent à la société française – on ne parle déjà plus d’assimilation – ou pour acheter une certaine paix sociale. Le même Lionel Jospin, alors Premier Ministre, réitèrera exactement la même faute pour les mêmes raisons dans les années 1999-2002, en niant complètement l’apparition d’un antisémitisme issu des populations musulmanes des banlieues. Tous les responsables politiques iront peu ou prou dans le même sens, celui d’accommodements pas toujours raisonnables d’ailleurs, pour complaire à une communauté n’hésitant pas à faire pression pour obtenir toujours davantage, au nom du nombre, l’islam revendiquant haut et fort son statut de deuxième religion de France. La religion sortant ainsi de la sphère privée pour s’afficher ostensiblement oblige ainsi les responsables politiques à considérer les communautés pour, finalement, donner des gages aux uns et aux autres, et à installer le communautarisme dans l’espace public.
© Jean-Marc Lévy Pour Israël is Forever Alsace
Jean-Marc Lévy est vice-Président d’Israël is Forever Alsace

« Si, à ce stade, la conviction du lecteur n’était cependant toujours pas établie »
Pas de problème, elle est établie sans le moindre doute et depuis longtemps. Confirmée et reconfirmée. Rien dans l’actualité ne peut la démentir.
Comment pourrait-il en être autrement, quand même l’impensable, l’absence de jugement et la libération d’ un meurtrier au prétexte qu’il est dément alors qu’il est seulement sous l’influence de la drogue et poursuit depuis longtemps sa victime de sa haine antisémite. Et qu’il savait très bien ce qu’il était en train de faire (il a eu le cynisme de crier qu’une personne se suicidait en jetant par la fenêtre la pauvre Mme Halimi ). Ma conviction d’une justice antisémite en France a été acquise dès cet instant.
« Tout se passe en effet comme si la justice, prise en otage par des juges acquis à une idéologie d’extrême-gauche, avait pris le parti de dépénaliser l’antisémitisme assimilé depuis des années à une maladie psychiatrique »
C’est exactement cela.
Merci Jean-Marc Lévy d’avoir rappelé tous ces faits à l’appui d’une réalité incontestable : avec Macron, l’antisémitisme a explosé.
Et ce ne sont pas « quelques hochets » qui me feront changer d’avis.
Je boycotte Emmanuel Macron.
Un très bon résumé de Jean-marc Lévy. L’antisémitisme qui a été toujours présent en France depuis toutes ces années a explosé depuis le 7 octobre. Emmanuel Macron est responsable de ne pas nommer les choses. L’antisémitisme n’a qu’une seule obédience, d’abord antisioniste et pro-palestinienne, désormais islamiste. Et surtout La France Insoumise qui soutient des groupes terroristes antisémites (Le hamas Le Hezbollah). On laisse faire ces gens en toute impunité. La grande faute morale d’Emmanuel Macron c’est de ne pas être allé à la marche contre l’antisémitisme, de tenir des propos ambigus. Que ce soit Nicolas Sarkozy, François Hollande ou François Mitterand, ils ont tous défilé à Paris contre l’antisémitisme. On se souvient du discours historique de Jacques Chirac à la commémoration du Vel d’Hiv. Il reconnaîtra la responsabilité de Vichy dans la déportation des juifs. Quant à De Gaulle et Giscard d’Estaing, ils ont eu des propos contreversés. On retient les phrases indignes du premier ministre Raymond Barre.
https://www.crif.org/fr/tribune/Les-recidives-de-Raymond-Barre8561
Emmanuel Macron veut ménager la chèvre et le choux, satisfaire la communauté juive et la communauté musulmane, « le en même temps ». Finalement c’est ne rien faire et ne pas agir.
Je suis désolée, je corrige mes fautes Mitterrand, le chou, Jean-Marc. Avec toutes mes excuses.
Excellent tout simplement….un texte qui doit être une référence
Merci