Dr Rahmeh Aladwan, 31 ans, est spécialiste en chirurgie traumatique et orthopédique, à Manchester, en Grande-Bretagne.
Elle vient d’être suspendue pour 15 mois de toute activité médicale auprès de patients.
Elle aurait tenu sur X des propos antisémites glorifiant les massacres du 7 octobre.
Devant le tribunal où elle a comparu, en exhibant fièrement un pendentif avec le chiffre 7, elle n’a pas nié les faits.
Elle s’est juste défendue en affirmant qu’il n’y avait « aucune preuve que ses opinions avaient eu un impact sur la sécurité des patients. »
A l’annonce du verdict, le Dr Aladwan a dit que cette décision était bien la preuve que « seul le lobby juif et sioniste décidait de qui pouvait ou non exercer la médecine en Angleterre ».
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Les médecins légistes qui ont examiné les corps de femmes violées le 7 octobre par les terroristes du Hamas, ont constaté, dans de nombreux cas, que leurs bassins avaient été brisés.
Rahmeh Aladwan, en tant que femme et médecin spécialiste en traumatologie, ne peut ignorer ce que cela veut dire en terme de violence extrême.
Que lui reste-il encore en terme d’humanité pour continuer à exercer la médecine ?
© Daniel Sarfati