
« Gauche : sensibilité politique héritière des Lumières, née glorieusement dans la salle du Jeu de Paume, en juin 1789, mais définitivement déshonorée en bramant : « Allahou Akbar » lors de la ‘marche contre l’islamophobie’ en novembre 2019, enfin morte par gangrène généralisée à l’automne 2025, en publiant à tour de bras des listes de juifs à bâillonner, censurer, proscrire et éliminer de la vie publique voire plus si affinités. D’ailleurs, à quand une affiche rouge pour dénoncer et traquer les dangereux agents juifs terroristes qui infiltrent les structures de l’État systémo-raciste ? » Philippe-Emmanuel Toussaint
Pour info :
Un professeur d’histoire de Lyon 2, Julien Théry, est au cœur d’une tempête après avoir relayé sur Facebook une liste de personnalités qualifiées de “gén*cidaires à boycotter” — liste visant exclusivement des personnalités juives mais qui a été reprise d’une tribune du Figaro contre la reconnaissance de l’État palestinien.
Vives condamnations
• La Licra dénonce une “attitude ignominieuse”, assimilant la démarche à des “listes comme sous l’Occupation”, et évoque une possible provocation à la discrimination.
• Des responsables politiques parlent d’un “antis*mitisme d’extrême gauche dans l’université”.
• L’université Lyon 2 condamne “avec la plus grande fermeté”, se désolidarise totalement et annonce examiner “les mesures qui s’imposent”.
Réaction de l’enseignant
Julien Théry assume sa publication et se défend en accusant la Licra de “confondre juifs et sionistes”.
Il dénonce une “offensive maccarthyste” visant l’université et affirme être ciblé pour ses écrits sur “l’antis*mitisme de gauche”.
Un établissement déjà sous tension
Lyon 2 avait déjà été secouée ces derniers mois par :
• l’interruption d’un cours par des manifestants pro-Palestine ;
• la démission d’un vice-président après des prises de position sur le conflit au Moyen-Orient.