
Témoignage de Yuval Sharvit,
Je suis Yuval.
Une femme qui a vécu des choses que personne ne devrait vivre. Ce samedi 7 octobre, j’étais à Nova. J’ai été témoin d’un viol, d’un enlèvement, j’ai vu et respiré le meurtre. Ils ont essayé de me tuer. J’ai vécu une horreur inimaginable, gravée à jamais dans mon cœur, mon esprit et mon âme. Sarah Novak
………. Le cœur se déchire, l’estomac se remue et l’âme se contracte devant les témoignages d’horreur qui ont changé à jamais le visage de l’État d’Israël.
En lisant le témoignage de Yuval, mon cœur se brise. Ce n’étaient que des jeunes qui voulaient célébrer lors d’un festival, et à la place ils ont été jetés dans une atrocité, un véritable massacre. Le récit de Yuval Sharvit, survivant du festival Nova, est un document humain choquant qui révèle les crimes indescriptibles commis par les assassins de l’unité Nukhba : une histoire de viol, d’humiliation et de brûlés vifs.
Yuval Sharvit était là, à l’enfer ouvert du 7 octobre, et porte le souvenir absolu de l’horreur subie par la jeune femme qui était dans la voiture à côté d’elle. « La fille blessée dans le véhicule à côté de moi a été traînée par les terroristes ». Yuval a décrit le moment où la victime, blessée et sans défense, a été emmenée dans le pire des cauchemars.
Elle a supplié celui qui était avec elle dans la voiture de l’aider, mais il était coincé. Ses derniers cris ont déchiré le ciel indifférent du matin : « Elle a commencé à crier qu’on lui arrachait ses vêtements. Ils étaient trois terroristes, ils l’ont violée. » Le témoignage de Yuval ne laisse aucun doute : « Dans ma vie, j’ai entendu des cris comme ça ».
De l’autre côté, les terroristes avaient l’air de célébrer, « comme s’ils buvaient un cocktail sur la plage ». C’était une fête de meurtre et d’humiliation sur une douleur inhumaine.
Lorsque ces bêtes ont mis fin au viol et au crime odieux, elles ne se sont pas contentées de tuer : « Quand elles ont fini, elles ont tiré un RPG sur leur voiture ». La jeune femme, qui avait souffert de l’inimaginable, a été prise au piège dans le véhicule en feu. « Après tout ce qui s’est passé, elle est morte brûlée vive ».
Ce témoignage est un cri qui exige que le monde entier voie le mal absolu, ce crime de guerre, et reconnaisse que le 7 octobre, non seulement des personnes ont été tuées : des âmes ont été détruites d’une manière que nous n’imaginions jamais possibles. Le sang de cette jeune femme crie depuis la terre.
© Yuval Sharvit