L’eau, cet or bleu primordial. Par Erick Lebahr

—————————————————————Ah, ce coquin de sort!

L’Iran, en total stress hydrique… alors qu’il pleut sur Israël.

Ce serait bien que les Juifs arrêtent de voler les nuages qui planent au dessus du ciel de l’Iran.

Tout ça, juste pour faire pleuvoir en Israël.

Serait-ce la main de Dieu? Le mektoub, ce fameux destin implacable qui pèserait sur l’homme?

Que nenni!

Plus prosaïquement, je soupçonne une certaine implication dans cette manoeuvre.

Le temps est bien « maussade » à Ashdod… Il y pleut surabondamment.

Plus sérieusement, cette situation catastrophique en Iran est la résultante directe de la politique des mollahs.

Focus sur leurs velléités d’anéantir Israël, sur leur financement du terrorisme mondial, de leurs proxys, hamas, hezbollah, houtis, milices irakiennes affidées …

Les « arroser » n’a pas de prix pour ce régime… mais il a un cout très prohibitif pour le peuple iranien!

Leur peuple qu’ils opressent se voit ainsi privé de toutes les ressources du pays.

Canalisations en déshérence, robinets à sec, coupures d’eau chaque jour.

La sécheresse de l’iran est à l’image de la sécheresse du coeur des ayatollahs.

À l’inverse, Israël, minucule pays 80 fois plus petit que l’Iran, bien que se défendant de volontés génocidaires continues à son encontre, a transformé ses déserts en oasis.

Il est un pionnier, en pôle position mondiale dans le dessalement des mers et le recyclement des eaux usées, grâce à l’usage de technologies de pointe( dont celle de l’osmose inverse).

Son labeur, son imagination, son sens de l’innovation, la plasticité du cerveau juif sont centrés en premier lieu sur le bien-être de la population israélienne.

Deux paradigmes, deux visions du monde qui s’affrontent.

Le désert israélien transmué en champ d’expérimentations ingénieuses.

6 millions d’hommes privés de leur mausolée de marbre. Mais un peuple qui, malgré le sable infâme, y a fait pousser 6 millions d’arbres.

La volonté, l’audace, ( la chutzpah, en hébreu).

À l’inverse, montagnes, vallées, plaines, cours d’eau iraniens transformés en quasi désert, en raison d’une gestion calamiteuse.

Là réside l’explication cardinale de tous ces nuages noirs qui s’amoncellent sur ce régime islamiste …

Le jour où il chutera, à force d’être honni par son peuple qu’il maltraite, nul doute qu’Israël fera profiter ce dernier de toute son expertise en la matière.

Mais d’ici là, pas mal d’eau aura coulé sous les ponts.

© Erick Lebahr

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