Tribune Juive

« Apartheid halal : bienvenue dans les territoires 100 % certifiés sans Juifs »

Traversez la Judée-Samarie en voiture, et vous les verrez partout : des panneaux rouge vif avertissant les Israéliens en trois langues que l’entrée dans une ville de l’Autorité palestinienne est « interdite, dangereuse pour votre vie et contraire à la loi israélienne« 

Eh oui, pendant qu’on défile à Paris contre « l’apartheid israélien », il y a un autre endroit où la ségrégation tourne à la perfection : les territoires palestiniens.

Pas un Juif, pas une kippa, pas même un Israélien égaré à la station-service. Ici, la coexistence a été bannie à la douane — pour cause de « sécurité culturelle ».

La Cisjordanie plutot la judee samarie, c’est un peu comme une résidence de vacances « adulte only », mais version politique : « entrée interdite aux Juifs ».

On se targue d’y préparer l’État de demain, mais pour l’instant, c’est plutôt un musée d’ethnographie sans exposition.

Les dirigeants locaux, eux, jurent la main sur le Coran que c’est « provisoire ». Un provisoire qui dure depuis 30 ans, comme les travaux du RER E.

Résultat : 0 % de mixité, 100 % de rancune, et des murs qui vieillissent mieux que les accords d’Oslo.

Pendant ce temps, les diplomates occidentaux continuent leur sport favori : le déni en costard.

Ils s’indignent à Tel-Aviv, s’endorment à Ramallah, et rédigent des communiqués où tout le monde a tort, mais « de manière équilibrée ».

Bref : dans les territoires palestiniens, l’apartheid n’est pas un crime, c’est une norme.

Un apartheid soft, éco-responsable, recyclé à base de peur et d’habitude.

Et si par miracle un Juif osait venir s’y installer, il finirait en statue commémorative — inaugurée par l’ONU, un jour férié.

🪶 Mahmoud Abbas, président à vie (faute d’alternative)

C’est un exploit démocratique digne du Guinness des records : Mahmoud Abbas est président de l’Autorité palestinienne depuis 2005. Vingt ans de mandat sans élection — un record que même certains dictateurs regardent avec respect et une pointe de jalousie administrative.

Élu pour quatre ans, il en est à cinq mandats de plus, à la suite, sans passer par la case urne. Mais pourquoi s’embêter à voter quand on peut simplement… rester ? Après tout, en Palestine,

les élections sont comme les trains : souvent annoncées, rarement à l’heure, et parfois annulées pour « raisons techniques ».

À Ramallah, on appelle ça la stabilité. À Paris, on appelle ça un partenaire pour la paix.

La France continue de signer des chèques, persuadée que quelques millions d’euros par an maintiendront la flamme du dialogue. Résultat : un système où la paix stagne, la corruption prospère, et les diplomates s’autocongratulent en séminaire PowerPoint.

🪶 Et pour conclure,

Chers militants pro palestinien à la mémoire optionnelle,

vous qui brandissez les torchons terroristes (drapeaux) , les slogans et les keffiehs avec la ferveur d’un festival de Woodstock politique, une petite devinette :

où sont passés les Juifs d’Algérie, de Tunisie, d’Égypte, du Liban, du Yémen, d’Irak ou de Syrie ?

🪶 « Gaza : le génocide qui fait des bébés »

Breaking news : à Gaza, il y aurait un génocide… qui, curieusement, n’empêche pas la population d’augmenter depuis 1948.

Oui, vous avez bien lu. Un génocide démographique digne d’un scénario de science-fiction : plus on tire, plus on survit… et même mieux, on se reproduit.

Conclusion : certains génocides sont tellement sophistiqués qu’ils défient la logique et la géographie.

Mais rassurez-vous : dans les rapports officiels du hamas repris par Fr’ance GTV, Le Monde et BFMTV, tout est sous contrôle. Le génocide invisible est un art subtil… qui laisse derrière lui des foules bien vivantes, malgré tout.

© Jean Vercors

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