
Dans un entretien d’une lucidité rare, Pierre Brochand, ancien directeur de la DGSE, décrit la France au bord d’une « confrontation interne » – conséquence directe d’une immigration de masse et d’un désarmement politique et moral prolongé.
Son analyse, implacable et documentée, fait écho aux scénarios que Didier Long et Dov Maimon avaient déjà anticipés dans La Fin des Juifs de France : une société fragmentée, une confiance sociale brisée, et un État impuissant à enrayer la spirale du délitement.
Le cri d’alarme de Pierre Brochand (ex-DGSE) ( in « Le Figaro Magazine », 17 octobre 2025)
LE FIGARO MAGAZINE. – Il y a tout juste vingt ans, le 27 octobre 2005, éclataient les premières grandes émeutes de banlieue. Était-ce le début d’un long processus nous conduisant à une forme de « guerre civile » ?
Pierre BROCHAND. – Avec le recul, ce qui s’est passé il y a vingt ans apparaît comme un révélateur cruel de l’état du pays. Depuis les années 1980, des émeutes ethniques, jamais vues, surgissaient ponctuellement dans les zones urbaines sur fond de délinquance, d’islamisation et de séparation.
La vague d’octobre 2005, en étendant l’incendie à plusieurs villes, a sonné un réveil brutal. Deux tiers de nos compatriotes ont alors pensé qu’il fallait « arrêter l’immigration ». Ceux qui détiennent le pouvoir ne les ont pas écoutés. Résultat : rien n’a été fait, et nous en sommes arrivés aux angoisses d’aujourd’hui.
« Si nous restons bras croisés, nous irons vers le pire. »
Ce pire, explique-t-il, sera la régression du pays en tous domaines : sécurité, bonheur de vivre, et effondrement de la confiance sociale – clé de voûte des peuples heureux.
Selon lui, le ferment principal de cette déstabilisation est l’irruption d’une immigration de masse aux caractéristiques antagoniques des nôtres.
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« Guerre civile » ou « confrontation interne » ?
Il rejette le terme « guerre civile ». Dans une démocratie avancée, dit-il, les différends internes ne suffisent plus à déchaîner la violence : la « question sociale » est close depuis 1968.
Les violences viendront de l’extérieur : d’une immigration porteuse de bagages culturels, religieux et historiques non abandonnés à la frontière. Ces bagages – culture de l’honneur, passé colonisé, endogamie, faible employabilité – se sont, selon lui, aggravés au fil des générations.
Il parle d’un cas « hybride », mêlant guerre civile et étrangère, et prévoit une « confrontation interne » vulnérable aux ingérences extérieures.
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« Nous allons continuer de nous enfoncer »
Avant une bataille ouverte, la France, dit-il, va s’enfoncer dans des « sables mouvants » : un enchaînement de dégradations sociales, économiques et culturelles.
Les clivages anciens – religieux, coloniaux, raciaux, culturels – réapparaissent. La violence deviendra l’unique issue : sporadique puis agglutinée, portée par un « magma souterrain » et des « éruptions soudaines ».
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Les quatre acteurs de la tragédie
Brochand distingue quatre ensembles :
1. « Ceux venus d’ailleurs » : environ 25-30 % des résidents (trois générations). Seuls 5-10 % seraient « assimilés », 30-40 % « intégrés », le reste oscillant entre non-adhésion et hostilité.
– La jeunesse masculine serait le fer de lance d’un retour aux coutumes des pays d’origine.
2. « Ceux d’ici » : divisés en « ceux d’en haut » (métropoles, idéologie du laisser-faire) et « ceux d’en bas » (France périphérique en contact quotidien avec les banlieues).
3. Les forces de l’ordre : seul corps armé légitime, mais entravé par le droit et les budgets.
4. L’État républicain : vidé de sa substance régalienne par l’idéologie individualiste et juridique née dans les années 1970.
Selon lui, la France ne tient plus que par un fil : celui d’une homogénéité culturelle disparue.
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Démographie : l’accélérateur décisif
L’inversion démographique ethnique et religieuse serait inévitable et exponentielle.
Au-delà d’une « masse critique », l’intégration n’est plus possible : les quartiers « perdus » annoncent le futur du pays.
Parmi les « freins », il cite :
– l’évitement géographique (centres-villes, banlieues, France périphérique) ;
– les « fuites » vers le privé, l’expatriation, ou l’alya des Juifs français ;
– les compromissions politiques et municipales pour « acheter la paix sociale » ;
– l’entrisme des Frères musulmans et la cartellisation mafieuse locale.
Mais le principal frein, selon lui, reste la retenue des Français « d’en bas », tétanisés par le confort matériel, la culpabilité et la peur de la violence.
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Un « fleuve souterrain » vers la belligérance
Brochand décrit une « guérilla de basse intensité » dans les « contre-sociétés enclavées » : attaques contre les services publics, check-points, omerta, zones interdites.
Il compare la situation à des « plaques tectoniques » – individualisme et immigration – dont le frottement provoque des étincelles pouvant embraser la plaine.
Les seuils critiques pourraient inclure l’usage d’armes létales, l’entrée de l’armée, ou la prise d’otages.
Il évoque aussi le rôle des réseaux sociaux et des technologies (drones, infrastructures vitales) comme facteurs de chaos et de contagion psychologique.
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« Un radicalisme sans remords » comme solution
La seule issue, selon lui :
– réduction drastique des flux d’entrée ;
– contrôle des diasporas ;
– rétablissement de l’ordre public ;
– réforme pénale décomplexée ;
– refonte constitutionnelle pour rétablir les droits collectifs du peuple français.
« Si nous persistons à repousser à plus tard ce qui aurait dû être fait hier, nous ne préparons pas à nos descendants des lendemains qui chantent. »
© Dov Maimon

Les possedants français ont choisi leur voie , le peuple français , amorphe subit deja ces choix desastreux et connaitra des jours bien plus durs demain .
En quoi le peuple juif est il concerné ? Les juifs français , pour la plupart ont perdu leurs dernieres illusions d autant qu ils savent qui sera en premiere ligne , vendus aux barbares islamistes .
Chacun doit se preparer , de suite .
C’est le projet de la « construction » européenne (la plus grande imposture politique de tous les temps), fille née de l’union entre Mohammed Amin al-Husseini et Eva Braun.