Tribune Juive

« C’est pas un génocide », rappe VersaNova. Malentendants à force d’antijudaïsme: Écoutez

VersaNova, l’éclat du vrai dans le vacarme des mensonges

Un rap coup de poing pour défendre Israël et dissiper la brume médiatique

Dans un paysage musical saturé d’émotions fabriquées, une voix surgit, brute, claire, sans détours. « C’est pas un génocide », clame le rappeur VersaNova dans un morceau au flow implacable et au message incendiaire. Une chanson qui défie le récit dominant, remet les pendules à l’heure et expose l’impensable courage d’un artiste sans visage mais pas sans cause.

Un fantôme sur les plateformes, une détonation dans les mots

Aucune photo, aucun article, aucune interview. Et pourtant, le 17 juillet 2025, une chanson explose sur les plateformes, portée par un pseudonyme inconnu : VersaNova. Le titre ?
« C’est pas un génocide ». Le ton ? Assumé, tranchant, viscéralement pro-Israël, et surtout intransigeant sur la vérité des faits.

Dans ce titre rare, l’artiste s’attaque frontalement à l’inversion des responsabilités dans le conflit israélo-palestinien. Il ose dire ce que peu de figures publiques, et encore moins d’artistes urbains, osent affirmer : non, Israël ne commet pas de génocide ; oui, le Hamas instrumentalise les civils palestiniens ; oui, la propagande occidentale participe à la manipulation des masses.

« Ils parlent de génocide, t’as vu le mot qu’ils balancent,

Mais qui tire les ficelles, qui manipule les balances ? »

Ces mots, rappés avec colère mais précision, font voler en éclats l’usage dévoyé d’un terme lourd : « génocide », répété en boucle depuis le 7 octobre. Ce jour-là, des enfants, des femmes, des vieillards ont été massacrés dans les kibboutzim israéliens, mais les médias n’ont eu d’yeux que pour Gaza.

Une riposte verbale contre la lâcheté morale

Le texte du morceau est une réponse cinglante à la confusion médiatique, à l’hypocrisie de certains activistes, à la lâcheté des bien-pensants. Vers après vers, VersaNova démonte les éléments de langage utilisés pour diaboliser Israël et blanchir ses ennemis.

« Des roquettes sous les écoles, des gosses comme boucliers, Et cette salle qu’on accuse pendant qu’Hamas riait. » » Un vrai génocide, c’est l’envie d’effacer »,
Mais Israël vise les tueurs, pas les mères affamées. »

Il y a ici plus qu’un texte politique. Il y a la rage d’un témoinla lucidité d’un survivant par procuration, la voix de ceux qui ont vu, qui savent, et qui n’en peuvent plus de se taire. Son refrain est un marteau :
« C’est pas un génocide, faut dire la vérité,C’est le Hamas qui fait fuir toute possibilité de paix. »

Un rappeur inconnu… et pourtant si juste

Qui est VersaNova ? À cette heure, aucun visage, aucun parcours, aucun storytelling. Il est absent de la scène publique, invisible sur les réseaux sociaux, fantomatique dans les circuits médiatiques. Mais justement, ce silence fait écho à la solitude d’Israël dans le concert des nations. VersaNova, c’est peut-être ça : une voix sans drapeau artistique mais avec une boussole morale.

Il ne cherche pas à vendre, à plaire, ni à grimper les charts. Il balance une bombe et se retire, laissant l’explosion faire son œuvre. Et dans ce fracas, une phrase résonne :

« Moi je rappe pas pour plaire, je rappe pour la raison. »

Une œuvre à diffuser, à traduire, à enseigner

Dans un monde où la musique est souvent complice du déni ou du populisme victimaire, « C’est pas un génocide » est une exception, un acte de courage artistique. Ce n’est pas une chanson, c’est un témoignage, un document, une prise de position.

Les écoles juives devraient l’étudier. Les militants israéliens devraient la partager. Les parents devraient l’écouter avec leurs enfants. Parce que ce morceau ne donne pas simplement un avis : il rectifie une vérité tordue par le bruit du monde.

VersaNova : un soldat de la mémoire et du verbe

Peut-être qu’on ne saura jamais qui est VersaNova. Mais ce n’est pas si grave. Il est la preuve que la culture n’est pas condamnée à sombrer dans le relativisme moral. Il est l’illustration qu’on peut faire de l’art avec des faits, de la poésie avec des vérités.

Et il est surtout la voix que l’on attendait dans ce tumulte où les mots sont devenus des armes.

Cette chanson est une arme. Utilisez-la.

VersaNova a sorti cette chanson pour qu’elle frappe. Alors ne la laissez pas se perdre dans l’algorithme. Faites-la tourner. Faites-la écouter. Analysez-la. Dénoncez les silences, les complicités, les inversions. Car aujourd’hui, la guerre ne se joue pas que sur le terrain. Elle se joue aussi dans les esprits. Et dans cette bataille-là, « C’est pas un génocide » est un tir de précision.

Texte de la chanson : 
Ils parlent de génocide, t’as vu le mot qui balance Mais qui tire les ficelles, qui manipule les balances Un groupe terroriste qui sort des souterrains Se cache derrière des gosses tirant, criant Palestine Sept octobre, cauchemar crie dans les kibbutz

Des enfants, des femmes égorgées sans issue Mais à Gaza, certains dansaient sur les corps Et maintenant ça crie à l’aide dès que ça tape plus fort.

C’est pas un génocide, faut dire la vérité C’est le Hamas qui fait fuir toute possibilité de paix Des roquettes sous les écoles, des gosses comme boucliers.

Et cette salle qu’on accuse pendant qu’Hamas riait Israël survit, encercle les droits au cœur
Mais c’est lui qu’on accuse, lui qu’on traite d’oppresseur .

C’est pas un génocide, c’est une riposte claire.
Faut séparer l’innocent de celui qui fout l’enfer.
Y’a des camions d’aide qui entrent même sous les bombes
Quel génocide,  fait ça réfléchit une seconde.
Des trêves proposées mais toujours rejetées
Hamas préfère les morts, les gosses comme leviers.
Des tunnels sous les crèches,
des armes sous les lits .
Un peuple piégé pendant que les chefs fuient .
Ils veulent pas deux états, ils veulent nous effacer .
Et toi t’appelles sa résistance et j’suis sacrifié

C’est pas un génocide, faut dire la vérité .
C’est le Hamas qui fait fuir toute possibilité de paix.
Des roquettes sous les écoles, des gosses comme boucliers
Et cette c’est Israël qu’on accuse pendant qu’Hamas riait
Israël survit, encercle les droits au cœur.
Mais c’est lui qu’on accuse, lui qu’on traite d’oppresseur.
C’est pas un génocide, c’est une riposte claire.
Faut séparer l’innocent de celui qui fout l’enfer .

Un vrai génocide, c’est l’envie d’effacer .
Mais Israël vise les tueurs, pas les mères affamées

Ils larguent des tracts, préviennent avant l’assaut .
Mais les médias ferment les yeux trop occupés par leurs mots
On t’a menti sur les mots, brouillé la vérité .
On te parle d’oppresseur mais on t’cache la cruauté
Si t’écoutes qu’un seul camp, t’as qu’une illusion .

Moi je rappe pas pour plaire, je rappe pour la raison
C’est pas un génocide, c’est le droit d’exister
Contre ceux qui en silence veulent nous éradiquer

Quitter la version mobile