
Le 13 octobre 2025, la libération d’otages innocents détenus, torturés, martyrisés par l’organisation criminelle hamas et complices détermine, à ce stade, des aspects négatifs et positifs.
Aspects négatifs
La libération des otages ne signifie pas la fin de la guerre entre le peuple israélien et les génocidaires d’en face.
Cette libération a une fois de plus montré la présence, l’arrogance et l’uniforme de la haine vêtue par les monstres djihadistes spécialisés dans les crimes et persécutions de civils innocents, surtout s’ils sont juifs.
Les souffrances morales et physiques des familles, des amis, des alliés des otages assassinés ou rescapés s’avèrent d’ores et déjà injustement chroniques.
En dépit de la nouvelle victoire militaire israélienne sur ses ennemis, le hamas est parvenu à libérer dans le Monde les haines ancestrales, chrétiennes, musulmanes, fascistes, communistes, totalitaires, théologiques et autres, des carcans éthiques qui jusqu’alors les maintenaient peu ou prou.
Aspects positifs
Israël est passé du 7 octobre 2023, jour des massacres de civils et des prises d’otages, par la stupéfaction, la réaction et le déplacement des combats de l’intérieur à l’extérieur du territoire national. Compte tenu de la surprise, de la stupeur et de la terreur, c’est une prouesse militaire suffisamment exceptionnelle pour être positivée et soulignée.
En deux ans, Israël a réussi à modifier la situation géopolitique du Proche-Orient à l’avantage de sa propre sécurité jusqu’à celle d’États ennemis! Jérusalem a frappé ses ennemis à Gaza, au Yemen, en Iran, au Liban, en les territoires palestiniens, en Syrie, dans des conditions relevant d’une technologie et d’un courage uniques au Monde.
Aujourd’hui, malgré la volonté génocidaire de ses ennemis et l’hostilité belliqueuse des États censés être en paix avec Israël, les menaces à ses frontières ont radicalement diminué, sa dissuasion militaire augmenté, la sécurité civile et militaire renforcée.
Les accords de paix dits d’ « Abraham » entre Israël et des États arabes, et non des moindres, ont continué de se développer.
Ni la guerre, ni la finance, ni la terreur, ni la « justice » ni la « diplomatie » au service de la haine…rien ni personne ne vient à bout de la vaillance et de l’héroïsme du peuple d’Israël.
La visite du président des USA le 13 octobre 2025, à Jérusalem, à la Knesset, en présence des parlementaires et de leur président, du chef de l’Etat et du chef du gouvernement d’Israël, consacre une fois de plus la souveraineté nationale israélienne sur sa capitale. Elle balaye toutes les vaines tentatives des ennemis d’Israël, de ses adversaires et des États parasites qui, en proie à tant de difficultés intérieures se sont combinées aux ennemis des libertés pour infamer et diffamer le peuple et l’Etat d’Israël dans leurs droits inaliénables à vivre et à défendre libertés et existence.
Par-dessus-tout
Il n’est pas inutile de signaler que l’Histoire et la Justice se sont rejointes ce 13 octobre 2025, 21 tishri de l’année 5786 du calendrier hébraïque.
La fatuité des gesticulations parasitaires de chefs d’États et de gouvernements en manque de consistances intérieures et extérieures ne vient pas à bout de la résistance d’Israël et de son peuple. Cet exemple doit être médité pour encourager les États menacés d’extermination (Arménie…) et par les peuples en « instance éternelle » de constitution de nations indépendantes (Kurdes…)
Les ratés qui dirigent et conduisent leurs propres peuples aux conflits, au désespoir et à la misère en s’en prenant aux droits légitimes du peuple israélien enragent en ce 13 octobre 2025 de ce que les centres de décisions sur l’existence d’Israël ne sont ni à Paris, ni à Londres, ni à Madrid, ni à Wellington, ni à Camberra, ni au Caire, ni nulle part ailleurs… qu’en Israël et précisément en sa capitale, Jerusalem.
Enfin, quelles ques soient les opinions sur les protagonistes politiques en scène, il convient de reconnaître avec bonheur qu’ils ont participé, derrière leur héroïque armée de Défense, au rétablissement de la sécurité et à l’augmentation de l’envergure nationale et géopolitique de l’Etat d’Israël.
Le simple examen du chemin parcouru depuis les massacres du 7 octobre 2023 n’efface ni la douleur, ni les morts et ni les martyres, ni les corps des otages torturés et assassinés encore séquestrés à Gaza.
Ils expriment une nouvelle fois l’identité inexpugnable et incontournable d’Israël.
© Pierre Saba
13 octobre 2025