lundi 13 octobre 2025
© Saul Loeb/AFP
Le Président Macron s’est invité au milieu de tous ceux qui avaient soutenu Israël réunis pour envisager les suites d’un « incroyable triomphe pour Israël » selon les termes de Donald Trump.
La plupart des commentaires étaient ironiques, voire désobligeants.
« Qu’est ce qu’il fait à nos côtés ? » demande Trump, et son interlocuteur lui répond : « Il veut absolument être sur la photo ! »
On peut deviner quel sera le rôle envisagé par le Président Macron : Conseiller et Assistant de l’Autorité palestinienne dirigée par Mahmoud Abbas. Il pourra ainsi distiller observations et recommandations susceptibles de perturber les négociations sur « le jour d’après ».
Il n’a désormais l’oreille que de moins de 2 français sur 10, il aura bien sûr davantage d’auditeurs à Ramallah surtout s’il incite à l’intransigeance. Et il se pourrait bien qu’il arrive ainsi à recruter des soutiens dans « les quartiers difficiles » de France, privant la LFI du paquet de suffrages indispensable à son leader ambitieux.
Un génocide
On a lu partout que Tsahal aurait gagné la guerre mais aurait perdu la bataille de la communication.
Il est certain que Yahia Sinwar ne cherchait qu’à mortifier les Juifs coupables d’être revenus chez eux. Seul un dément peut envisager de livrer bataille à un contre dix, même en sacrifiant sa population civile, même en abritant ses terroristes dans des kms de souterrains débouchant dans des hôpitaux, des mosquées, des écoles. Et, miracle, il a réussi à faire tomber dans son piège beaucoup de pays, beaucoup de gens intelligents ( ?) anti juifs révélés, qui ont répété à satiété le mot qu’il voulait leur faire dire : « génocide » !
Et on a vu le seul génocide se poursuivre par la volonté de ses victimes !
Non Israël n’a pas perdu la bataille de la communication parce que le vent a changé et les girouettes tournent différemment désormais.
« Je suis fier d’être un ami d’Israël », a déclaré Trump à la Knesset. Un pays qui est l’ami du Président de la nation la plus importante a gagné la guerre et remporté la victoire totale sur tous ses ennemis déclarés ou sournois.
Israël a gagné !
Israël a gagné !
© André Simon Mamou
Génocide.
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Lorsque les Américains découvrirent en 1945 les premiers camps de l’ Ouest de l’ Europe ils avertir immédiatement leur chef Dwight Eisenhower, lui demandant, toute affaire cessante, de venir voir ces camps. Dwight Eisenhower, qui avait une guerre à mener, obtempéra.
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Devant le » génocide » commis par les Israéliens a-t-on demandé aux généraux Israéliens , au chef de gouvernement, au président Israéliens de venir, toute affaire cessantes , voir l’ ampleur des charniers ? À-t-on, comme les Américains l’ ont fait pour les Allemands, obligé les civils israéliens à venir voir le désastre pour qu’ ils en prennent conscience ?
Pour cela, il faudrait qu’il y ait eu un génocide. Dans les combien ? 30 000 morts principalement de terroristes pour 80 000 naissances juste sur l’année dernière ? Ils sont nuls en Israël pour les génocides.
Ceci dit, réouvres un dictionnaire pour apprendre ce que veut dire « génocide ».
Un mot à un sens, l’utiliser dans un autre sens perd la valeur de celui qui parle (autant qu’il en ait)
Le Président Macron a une très haute idée de lui même. il est tellement narcissique, « il parle, il parle, il ne brasse que du vent ». Il est méprisé à l’étranger, méprisé par les français. Tout ce qu’il entreprend, c’est un désastre. Oui, on l’imagine bien Conseiller et Assistant de l’Autorité palestinienne dirigée par Mahmoud Abbas. Son comportement est étrange. On voit Emmanuel Macron sur une photo prendre la main de Mahmoud Abbas, un Président ne devrait pas se comporter comme cela. Il discrédite sa fonction. Il a été du mauvais côté de l’histoire, reconnaître un Etat palestinien, c’est une reconnaissance aux bourreaux. Quant à Donald Trump, qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, il a réussi à faire libérer les otages. Ce 13 octobre aura été une merveilleuse nouvelle dans l’actualité, « la libération des otages ».
Que Notre D.ieu Tout Puissant veille sur Israel, sur les survivants rentrés à la Maison.