Ils lui appliquent la fameuse citation : « Veille en combattant un monstre à ne pas devenir un monstre toi-même ». ( In « Par-delà le Bien et le Mal » )

Source : Ouest-France https://t.co/rowRQYnPSA
— cattan (@sarahcattan_) October 10, 2025
À Tribune juive On a fait le job, et depuis si longtemps. On l’aurait même oublié, Claude Askolovitch. Mais le personnage nous oblige. À toujours mettre en lumière les insanités qu’il publie ici ou là ( Le voilà désormais sur « Ouest-France »).
Laissons Clément Weill-Raynal dire son fait à Asko, mais dans un même temps à un Bruckner et alii:
« Une vraie saloperie la chronique que tu viens de mettre en ligne via Facebook, @askolovitchC . Bien enrobée de bon sentiments dégoulinants comme tu sais si bien le faire. Tu relaies l’accusation infâme de « génocide » sur le ton hypocrite du « Ce n’est pas moi qui le dis mais j’en ai entendu causer »… Avec – cerise sur le gâteau – cette fawta sentencieuse : « la vengeance israélienne a peut-être révélé la face noire d’Israël au monde ». J’imagine que tes nouveaux employeurs de Ouest-France seront satisfaits mais, franchement, qu’est ce qui te différencie des Caron, Portes, Soudais, Pannot et autres idiots utiles de l’islamo-gauchisme ? »
Une vraie saloperie ta chronique que tu viens de mettre en ligne via Facebook, @askolovitchC .
— Clément Weill-Raynal (@CWeillRaynal) October 9, 2025
Bien enrobée de bon sentiments dégoulinants comme tu sais si bien le faire.
Tu relaies l'accusation infâme de "génocide" sur le ton hypocrite du "ce n'est pas moi qui le dis mais j'en… pic.twitter.com/i0oufiDTWH
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A re-lire : Bruckner dans « Le Figaro »:
« Le 7 octobre 2023, un tabou est tombé, un piège a été tendu. À peine la nouvelle du massacre connue, les loups sont sortis du bois. Ce fut le coming out judéophobe le plus massif depuis 1945, surtout à gauche et à l’extrême gauche. Dès le 8, et avant même que l’armée israélienne ne commence ses représailles, des cris d’allégresse fusent sur tous les campus nord-américains, les foules exultent, un professeur d’histoire afro-américaine à l’université de Cornell, Russel Rickford, s’exclame en public : « C’était exaltant. C’était énergisant. Et si l’on n’est pas exalté par cette remise en cause du monopole de la violence, par cette modification de l’équilibre des pouvoirs, on n’est pas humains. C’était exaltant. » La pieuvre « sioniste » était enfin frappée au cœur. Au lieu d’être épouvantés par les atrocités commises, on les a justifiées, voire applaudies au nom de la résistance au colonialisme. Enfin on pouvait, pour la première fois depuis 1945, liquider des Juifs en masse à l’abri du discours anti-impérialiste. Ce jour-là un permis de tuer a été délivré : il est désormais moral et même recommandé d’être antisémite. D’autant que les troupes du Hamas n’ont rien caché de leur férocité grâce à leur GoPro ou caméra embarquée. Renversant une tendance au secret, pratiquée par les nazis comme par les communistes, ils ont commis le crime en open space, diffusé ensuite sur tous les réseaux sociaux et partagé par des millions de followers. Ils ne sont pas les premiers : Daech et al-Qaida sont les inventeurs du massacre sympa, de la tuerie cool qu’on se repasse en boucle sur TikTok en se tapant sur les cuisses. Le Hamas leur a emboîté le pas. Violer une jeune fille puis l’éventrer, décapiter des bébés, des vieillards se fait avec une bonne humeur revigorante, des hurlements de joie. Ce qu’on pourrait appeler l’enthousiasme exterminateur. Pas de hiérarchie dans les mises à mort, c’est la démocratisation du meurtre de masse aux cris d’« Allah akbar ». Un jeune militant du Hamas appelle ses parents à partir du téléphone de ses victimes. Il hurle de joie comme un étudiant qui vient d’apprendre sa réussite aux examens : « Je suis à Mefalsim (un kibboutz), j’ai tué dix Juifs de mes propres mains. J’ai leur sang sur les mains. » Son père l’encourage : « Puisse Allah te ramener en paix (…) tue, tue, tue ! »« Sois fier de moi, père. » Le Hamas joue habilement sur les deux tableaux de la terreur et de la pitié : il s’enorgueillit de violer, démembrer, brûler femmes ou garçons et met les vidéos à la disposition du grand public, mais il utilise la mort d’enfants palestiniens lors des bombardements de Tsahal pour apitoyer la communauté internationale et accélérer la réprobation d’Israël. Beaucoup, en France, depuis Stéphane Hessel, comme dans le monde anglo-saxon avec Angela Davis, Judith Butler, Sally Rooney, trouvent au Hamas des circonstances atténuantes, lui font les yeux doux : il est faible, démuni face à l’une des armées les plus puissantes du monde. L’opprimé a tous les droits, y compris de s’affranchir des règles élémentaires de la décence. Sa violence ne peut plus dire seulement : « Je tue des Juifs car telle est ma jouissance. » Elle argue d’une offense immémoriale qui exige réparation et autorise les hécatombes. Et cela marche auprès de cette partie des gauches occidentales, compromise avec l’islam radical, qui reprend ses thèses. Jean-François Coulomme, député LFI, n’a-t-il pas soutenu que les vrais otages ne sont pas les Israéliens qui croupissent depuis deux ans dans les tunnels, mais les passagers de la flottille de la liberté pour Gaza, qui risquent au plus de se faire expulser par les autorités israéliennes après quelques jours en cabane ? Si Israël disparaissait demain, si tous les Juifs du Jourdain à Haïfa étaient jetés à la mer, la rue arabe chanterait et danserait des mois durant, mais aussi les gauches antisionistes du Vieux et du Nouveau Monde. Après quoi, il leur faudrait trouver un aphrodisiaque aussi puissant et peut-être réinventer des Juifs pour les persécuter. Cette vieille haine de l’extrême droite occidentale, nationaliste et chrétienne, est passée massivement à gauche depuis un demi-siècle au nom de la cause palestinienne. L’antisémitisme démocratique reste l’horizon indépassable de notre temps. Mais le 7 Octobre fut aussi un piège tendu à Israël : en se cachant derrière la population, sous les hôpitaux, les écoles, le Hamas a poussé Tsahal à punir les civils, à les affamer et à ravager l’enclave sous couvert de détruire le terrorisme. L’organisation islamiste n’a pas pour fin de protéger les Gazaouis mais d’anéantir moralement Israël, et ce jusqu’au dernier civil palestinien. Dès le 10 octobre, soit bien avant la dévastation de l’enclave, l’accusation terrible de « génocide » fut utilisée contre l’État hébreu. Rappelons qu’une telle incrimination fut prononcée dès 1948 lors de la première guerre arabo-israélienne par des intellectuels palestiniens et n’a jamais cessé depuis, portée par diverses ONG, de la guerre des Six-Jours en 1967 à celle du Liban en 1982, sans oublier les diverses intifadas. C’est un concept « boomerang » pour s’approprier la Shoah et mettre Gaza en équivalence avec Auschwitz, même si des crimes de guerre ont bien été commis, ce que les historiens et les juristes devront établir précisément. La Shoah est ainsi devenue pour les descendants des déportés l’équivalent d’une tunique de Nessus : ce qui devait les protéger les brûle, cette armure les consume de l’intérieur et se retourne contre eux. Comme le dit l’ami des bêtes, le délicat Aymeric Caron, il n’y a plus de différence désormais entre les Israéliens et les nazis. Reste que Netanyahou aura offert à la cause palestinienne le plus beau cadeau dont elle pouvait rêver : la caution du martyre. En ravageant la bande de Gaza, d’abord pour se maintenir au pouvoir, il a fait don à ses ennemis du privilège victimaire. Dans la haine que le premier ministre et ses acolytes suprémacistes vouent aux Palestiniens, encourageant des pogroms en Cisjordanie, il n’est pas difficile de lire le remords d’avoir laissé faire le 7 Octobre, responsabilité indirecte qui souillera à jamais la mémoire de cette équipe dont le bellicisme compulsif indispose jusqu’à Washington. Faisons confiance à la démocratie israélienne pour juger et condamner ces dirigeants, après de nouvelles élections, si elle l’estime nécessaire. Une société libérale ne peut se lancer indéfiniment dans des aventures militaires, fût-elle portée, comme aux États-Unis après le 11 Septembre, ou en Israël après le 7 Octobre, par une hystérie de vengeance. Défendre la civilisation avec les armes de la barbarie, c’est brouiller la frontière entre les deux : « Veille en combattant un monstre à ne pas devenir un monstre toi-même » (Nietzsche). © Pascal Bruckner
Tribune juive

laissez Bruckner tranquille, c’est un sincère et véritable défenseur d’Israël et du peuple juif, pas comme ce faux cul d’asko. il a raison sur un point certains « colons » en Judée-Samarie se comportent comme des pogromistes, des fascistes que Netanyahu ne veut pas réprimer pour sauver sa coalition, c’est indéniable et salit l’image d’Israël
Me
Le texte de Bruckner est plutôt bon, jusqu’au passage sur Bibi qui comprend certains raccourcis (le maintien de la coalition est ce qui a permis des succès majeurs sur d’autres fronts: contre le Hezbollah, l’Iran etc) et le traditionnel couplet contre les colons. les réduire aux agissements d’extrémistes minoritaires et pour certains extérieurs (les tristement célèbres hilltop youth sont pour beaucoup des hooligans qui ne vivent même pas là) est abusif. Toujours ce crédo « progressiste » qui voit dans des gens religieux et traditionalistes un mal inhérent. Si je déplore le laissez faire du Gvt et de l’état face aux agissements lamentables de certains colons -qui au passage vont jusqu’à caillasser des soldats-, je déplore que ceux qui dénoncent sans cesse les colons et les implantations fassent l’impasse sur l’article 80 de la charte de l’ONU et l’obstination palestinienne à faire de cette région une terre Judenrein. Ceci étant dit, l’inaction des autorités quand il y a attaques et parfois meurtres contre des palestiniens parfaitement innocents de toute action de type terroriste ne plaide pas pour Israel, bien au contraire.
Bruckner n est pas infaillible , mais il n a aucun rapport avec ce sombre tocard que je m epargnerai de nommer ici .
Pas étonné pour As(ti)kolovitch… Plus déçu en revanche pour Bruckner!
« Veille en combattant un monstre à ne pas devenir un monstre toi-même ».
Les USA ont combattu le Nazisme et ses alliés en devenant un monstre : Dreste, Tokyo, Hiroshima, Nagazaki. Mais si les USA sont devenus un monstre ils n’ étaient qu’ un petit monstre face à l’ immensité monstrueuse du nazisme. Pour combattre un monstre il faut en devenir un, petit soit, mais monstre; puis abandonner cette monstruosité ( petite ) quand le monstre ( le vrai ) est mort.
Tout à fait. Cette moraline à deux sous est une aberration lorsqu’on connaît l’histoire. Et Israël est d’ailleurs infiniment plus vertueux que les pays qui lui font la leçon.
Claude Askolovitch est une ordure, et je n’ai guère plus d’estime pour Bruckner. Tout comme BHL, il a ce qu’on pourrait appeler un lourd passif : soutien aux guerres les plus illégitimes que mène l’occident en décomposition (de l’Irak à l’Ukraine). Bruckner a toujours été incohérent, dénonçant tout et son contraire. Le genre de personne qui nous dit « l’antisémitisme, le racisme anti-blancs et la barbarie islamiste c’est mal » mais qui prend ouvertement position en faveur du parti « démocrate » et de l’UE, c’est-à-dire…pour l’antisémitisme, le racisme anti-blancs et la barbarie islamiste. Eh oui, la France n’est plus un pays de lumières.
En résumé, on s’en tape de ce que pensent ces personnages. Leur avis n’a pas plus d’intérêt que celui d’alcoolos commentant les news dans un bar.
Askolovich pas de surprise.c’est un traitre.et on le sait depuis de nombreuses années.
Pour la fin du papier de Bruckner où il y a carrément un mensonge car il n’y a jamais eu de pogrome en judee samarie contre les arabes et bien sûr cette incantation de ne pas devenir des monstres en combattant des monstres on ne peut que s’interroger comme mes prédécesseurs :
Aurions nous pu vaincre le nazisme vraiment genocidaire lui et l’impérialisme japonais avec des Bruckner ?
Evidemment non.
Citer Nietzsche est devenu un réflexe pavlovien. Tout le monde le cite, y compris et très souvent des individus qui ne l’ont pas compris et qui représentent même tout ce contre quoi il mettait en garde. Nietzsche est avec Shakespeare l’auteur cliché par excellence.
Comme dit plus haut c’est vraiment de la moraline à deux balles et toujours le deux poids deux mesures quand il s’agit d’Israel, les mensonges concernant les juifs de Judee-Samarie qui eux subissent les attaques et se défendent contre les enragés fanatisés qui eux assassinent !
Ils répètent sans vergogne et sans preuves la propagande du Hamas et de toutes ces organisations complices honte à eux!
Israël n’a aucune leçon a recevoir dans cette guerre d’anéantissement qui lui est imposée!
le poste de Myriam est mensongère, elle refuse de voir l’évidence, certains occupants de la Judée-Samarie, comme les jeunes des collines sont ni plus ni moins que des fascistes et des terroristes et doivent être considérés comme tel et jugés comme les arabes terroristes. Bruckner a parfaitement raison sur ce point. ces individus sont là honte d’Israël et particulièrement de Netanyahou qui les laisse faire pour sauver sa coalition. s’attaquer à des innocents (des bergers, des agriculteurs..) les tuer parfois est criminel, c’est gens n’ont rien à voir avec le judaïsme dont ils se réclament