
On l’a moqué.
On l’a traité de fou ou de populiste.
N’empêche, Trump a réussi là où Macron — et tant d’autres — ont échoué.
Là où Macron bavarde, Trump agit.
Là où Macron se soumet aux terroristes, Trump les met face à leurs responsabilités.
Là où Macron répète les rhétoriques de l’extrême gauche, Trump impose le réel.
« C’est un grand jour pour le monde arabe et musulman, Israël, tous les pays qui l’entourent et les États-Unis d’Amérique », a déclaré Donald Trump.
Trump a permis la possibilité du retour des otages, là où Macron a éludé jusqu’à leur existence en reconnaissant un État corrompu dominé par les complices du Hamas.
Trump a même obligé Al Sharaa, le Syrien, à accepter l’idée d’un accord avec Israël, là où Macron a cherché à attiser la haine et donné des gages à ceux qui la propagent, dans l’espoir de gagner la part du lion.
Il n’a rien eu de tout. Rien.
Trump a menacé avant de promettre,
sanctionné avant de récompenser,
mis les dirigeants arabes dos au mur avant de leur tendre la main.
Il les a obligé à faire pression sur le Hamas.
Il a exclu Abbas le corrompu, au lieu d’en faire un « homme de paix ».
Et surtout, il a imposé un plan excluant le Hamas avant de parler de reconnaissance.
Pendant que Macron s’agenouille devant les terroristes et leur propagande, avec le sourire,
Trump a imposé la paix par la force du courage.
Rappelez-vous :
À quoi a servi sa reconnaissance de « l’État palestinien »?
À rien.
À quoi ont servi tous les appels téléphoniques dont il nous a bassinés ?
À rien.
Et quand je disais : même l’Arabie saoudite le lâcherait… pour applaudir Trump, c’est désormais chose faite.
Car c’est via Trump que les Accords d’Abraham continueront à donner une véritable perspective de paix —
et non à travers l’incompétence et les sourires béats d’un Macron obsédé par son opportunisme crasse.
© Faraj Alexandre Rifai