Par Abraham Chicheportiche

Il ne s’agit plus d’une guerre parmi d’autres. Ce qui se joue aujourd’hui, c’est le cœur même de la civilisation contre la barbarie. Israël, peuple millénaire revenu d’exil et des cendres, n’a pas le choix : il doit nettoyer, du fleuve à la mer, chaque enclave de haine, chaque forteresse du Hamas, jusqu’à la délivrance des 48 otages et jusqu’à la victoire totale.
Le slogan des ennemis — « du fleuve à la mer » — signifiait la disparition d’Israël. Par un retournement de l’Histoire, il devient désormais la promesse de son triomphe. Là où les terroristes voulaient effacer la liberté, Israël imposera la souveraineté. Là où ils voulaient instaurer la peur, Israël déploiera sa justice.
Ce combat n’est pas seulement militaire : il est moral, existentiel, métaphysique. Il sépare ceux qui croient en la vie, en la dignité humaine, en la liberté, de ceux qui ne vivent que pour la mort et l’asservissement. Les otages sont le symbole de ce choix : les ramener, c’est affirmer que chaque âme juive compte, que la force d’un peuple réside dans son refus de laisser l’un des siens derrière.
À ceux qui hésitent, qui tergiversent, qui se perdent en faux équilibres, il faut dire la vérité : il n’y aura pas de paix sans victoire. Pas de sécurité sans destruction totale du Hamas. Pas d’avenir sans ce nettoyage implacable qui arrache les racines de la terreur. Israël ne demande pas au monde sa permission : il accomplit son devoir d’État et de peuple.
« Les journalistes hystériques peuvent cracher leur bile : leurs hurlements médiatiques ne ramèneront pas les otages ni n’affaibliront notre détermination. »
« Qu’ils crient, qu’ils s’étranglent d’indignation télévisée — Leur théâtre de la colère ne change pas la réalité : des vies sont en jeu, des familles attendent, et l’État a le devoir impérieux d’agir. La rhétorique moralisante des salons n’a jamais libéré un otage ; seule la détermination, la stratégie et la fermeté le peuvent. »
Alors, oui, du fleuve à la mer, Israël avancera. Non pour dominer, mais pour vivre. Non pour effacer, mais pour libérer. Non pour haïr, mais pour briser ceux qui haïssent. Et quand les otages reviendront, quand la terre sera purgée de ses bourreaux, quand flottera sur Gaza la certitude qu’Israël ne plie jamais, alors l’Histoire saura : une nation petite en nombre, mais immense en esprit, a défendu la civilisation tout entière.
Israël ne s’arrête pas : il libère, il reconstruit, il triomphe. C’est là son destin.
Ce combat n’est pas seulement militaire : il est moral, existentiel, métaphysique. Il sépare ceux qui croient en la vie, en la dignité humaine, en la liberté, de ceux qui ne vivent que pour la mort et l’asservissement. Les otages sont le symbole de ce choix : les ramener, c’est affirmer que chaque âme juive compte, que la force d’un peuple réside dans son refus de laisser l’un des siens derrière.
À ceux qui hésitent, qui tergiversent, qui se perdent en faux équilibres, il faut dire la vérité : il n’y aura pas de paix sans victoire. Pas de sécurité sans destruction totale du Hamas. Pas d’avenir sans ce nettoyage implacable qui arrache les racines de la terreur. Israël ne demande pas au monde sa permission : il accomplit son devoir d’État et de peuple.
Alors, oui, du fleuve à la mer, Israël avancera. Non pour dominer, mais pour vivre. Non pour effacer, mais pour libérer. Non pour haïr, mais pour briser ceux qui haïssent. Et quand les otages reviendront, quand la terre sera purgée de ses bourreaux, quand flottera sur Gaza la certitude qu’Israël ne plie jamais, alors l’Histoire saura : une nation petite en nombre, mais immense en esprit, a défendu la civilisation tout entière.
Israël ne s’arrête pas : il libère, il reconstruit, il triomphe. C’est là son destin.
Reconnaître un État palestinien aujourd’hui n’est pas un acte de courage, mais un geste creux et lâche.
C’est offrir une prime politique au Hamas pour son massacre du 7 octobre.
C’est transformer la barbarie en dividendes diplomatiques.
Un tel choix n’apaise pas le conflit, il l’alimente.
Car il envoie un message simple : la terreur paie.
La reconnaissance précipitée d’un État palestinien n’a rien d’une vision stratégique, c’est une capitulation morale.
Elle trahit la justice, l’histoire et la vérité.
Elle nie le droit élémentaire d’Israël à se défendre et à vivre en sécurité.
Ceux qui s’y engagent ne construisent pas la paix, ils détruisent les conditions mêmes de son avènement.
La paix viendra d’une victoire sur le terrorisme, jamais d’une récompense à ses auteurs.
© Abraham Chicheportiche

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