
À l’ONU, Netanyahu a rappelé indirectement une évidence que beaucoup refusent d’entendre : toutes les guerres contre Israël ont eu la même origine et depuis des décennies : le refus catégorique du camp arabe d’accepter la légitimité et l’existence d’un État juif sur sa terre historique.
C’est ça la vérité.
On peut parler de « solution à deux États » autant qu’on veut.
Mais tant que la direction et la société palestinienne seront dominées par ceux qui glorifient le 7 octobre, qui enseignent la haine et refusent de reconnaître Israël comme État juif, ce ne sera qu’un slogan vide, voire dangereux pour la paix. Pour les mêmes Palestiniens.
Oui, les Palestiniens méritent de vivre dans la dignité, mais pas dans un système qui les sacrifie pour maintenir le rêve d’effacer Israël.
Macron et l’occident en général les confortent dans cette optique. Ils ne les aident pas à s’en sortir.
La vraie paix ne viendra pas d’une reconnaissance artificielle à l’ONU, mais d’un changement profond : la fin de l’incitation à la haine et de la banalisation/justification de la violence. Le tout avec l’émergence d’une nouvelle direction responsable et surtout qui reconnaît la dimension juive d’israël et sur sa terre ancestrale.
Le reste c’est du vent.
© Faraj Alexandre Rifai