Lors de l’assemblée générale des Nations-Unies du 26 septembre 2026, à l’initiative et à la demande de l’autorité-palestinienne (AP), les représentants des États djihadistes, leurs complices, leurs alliés, leurs obligés, en un mot, leurs débiteurs, ont « boycotté » le discours du premier-ministre de l’Etat d’Israël.
Ils ont quitté la salle en vociférant des diffamations (génocide, apartheid, etc.)à l’endroit de l’Etat hébreu… qui n’en commet aucune alors qu’ils sont la marque même de ces régimes accusateurs!
A ce stade de l’abjection, il faut bien souligner les éléments suivants:
Loin de respecter son partenaire israélien qui lui a offert des territoires, le droit et les moyens d’exister, l’AP agit en entité ennemie.
Les représentants des États qui ont quitté la salle synthétisent la haine des Juifs, des libertés publiques, de la liberté de parole et de contradiction, de la règle de Droit international et des droits humains. Ils souillent la réglementation intérieure pacifique de l’ONU avec l’assentiment de son secrétaire général.
Ils consacrent la mainmise politique, diplomatique et financière des régimes liberticides, génocidaires, racistes qui désormais financent le Monde et les organisations internationales en tordant le cou à la charte des Nations-Unies.
La faiblesse numérique et financière des démocraties et l’influence néfaste des dictatures financières au sein de l’ONU finira par « avoir la peau » de l’organisation.
Au-delà de tout aspect politique, le premier -ministre de l’Etat d’Israël doit afficher sa fierté du boycott demandé par l’AP et exécuté par les représentants des djihadistes et complices.
Le départ de la salle des « représentants » nommés par les dictatures qu’ils servent obséquieusement signe l’impossibilité d’écouter la réalité énoncée par le chef du gouvernement israélien. Ce départ est diplomatiquement sain. Il consacre l’honneur de défendre les intérêts vitaux des Israéliens, la probité qui consiste à défendre Israël par tous moyens légaux afin que son peuple ne subisse pas le sort que ces États imposent à leurs minorités et à l’interdiction de vivre qu’ils affligent à des États comme l’Arménie ou ceux qui, comme la Turquie, occupent près de la moitié de Chypre…
Israël peut se féliciter du boycott des États voyous et de leurs affiliés.
On ne le dira jamais assez: les temps ont changé. Jérusalem est devenu économiquement, technologiquement et militairement, un Etat incontournable.
L’échec de la terreur et de la guerre sur Israël depuis 1948 rendent ses ennemis fous de rage et de haine.
L’usage actuel de l’inversion de la norme juridique internationale, les mensonges sur un Droit inexistant jamais précisé et sur des faits inventés, jamais attestés, tous à charge d’Israël, n’auront certainement pas plus de succès.
Reste à Israël à réorganiser la médiatisation internationale de sa politique de défense et à tirer toutes les conséquences des comportements ennemis d’entités censées être en paix avec l’Etat hébreu (Égypte, Jordanie, AP).
Israël permet par la défense de ses intérêts vitaux la jonction de la probité internationale et de la volonté pour son peuple de vivre en paix et libre en conformité avec l’esprit et la lettre de la règle universelle que violent allègrement ses ennemis sous l’égide de l’ONU.
© Pierre Saba
26 septembre 2026