
AFP / © Ludovic MARIN

À l’ONU, le président de l’Indonésie – pays musulman le plus peuplé du monde – a rappelé une vérité simple : il n’y aura de paix réelle que si la sécurité d’Israël est reconnue et garantie.
C’est le seul pays musulman qui a lié la paix et la reconnaissance de l’État palestinien à la reconnaissance d’Israël et de sa sécurité.
Qu’en est-il des pays arabes, poussés par un Macron excité et obsédé, qui se sont succédé à la tribune pour pleurnicher la Palestine sans offrir le moindre geste de paix ?
Ils auraient pu reconnaître Israël sur cette tribune au lieu de se perdre en slogans qu’ils vocifèrent depuis des décennies. On aurait mieux avancé dans le schmilblick.
Pendant ce temps, Emmanuel Macron s’enferme dans son obsession de créer un État palestinien récompensant de fait le Hamas après le massacre du 7 octobre.
Il attise la haine de la rue arabe avec un discours creux, vide de perspectives, au lieu de l’aider à la dépasser par la fermeté et la clarté face au terrorisme.
Comment la France peut-elle se montrer plus « musulmane » que l’Indonésie elle-même ?
Comment peut-elle ignorer, mépriser et combattre le fait que les Accords d’Abraham – et désormais Djakarta – ouvrent la voie à une paix durable avec Israël ?
Comment peut-elle passer sous silence le Plan Blair, qui propose une alternative et des conditions sérieuses avant toute reconnaissance d’un État palestinien ?
La réponse est évidente : l’opportunisme de ce président conjugué d’une flagrante incompétence dans les dossiers du Moyen-Orient. C’est l’histoire d’un bon parleur qui sait gesticuler mais quand vous creusez c’est le néant. Pour le Moyen-Orient, le « beau » discours de ce président mènera à d’autres drames et catastrophes.
L’histoire retiendra ce contraste : d’un côté, la lucidité et le courage d’un dirigeant musulman ; de l’autre, l’aveuglement d’un président français hautain béat déconnecté et qui tourne le dos à la vérité et se place du mauvais côté de l’histoire, au côté des islamistes.
© Faraj Alexandre Rifai

Vous avez raison de souligner l’importance du discours du président indonésien. En effet, il était le plus surprenant, nettement plus intéressant que celui de M. Macron et même que celui – quelque peu décousu – du président Trump. Dire ces choses simples et évidentes est un signe de courage et de clairvoyance de la part du dirigeant de ce grand pays à majorité musulmane. Cela donne un peu d’espoir.
Trump a remis l’ONU à sa place , en lui rappelant le rôle qu’elle est censée jouer. L’ONU qui est contre Israel, il a parlé de la guerre à Gaza qui se poursuivra jusqu’à ce que les otages rentrent à la maison et que le hamas dépose les armes; Il a mis à garde l’Europe de l’ouest qui laisse entrer les migrants sans aucun contrôle. La France qui ne tire pas parti des richesses de sa terre et qui laisse couler ses industries . Il a parlé des pays qui reconnaissent un état palestinien qui n’existe pas de Macron qu’il a ridiculisé un peu….. Il a bien parlé le Président Trump, qui est au côté d’Israel et de son combat et je l’en remercie.