
Lors de la réouverture d’une synagogue munichoise de la Reichenbachstrasse partiellement détruite par les nazis, les yeux du chancelier conservateur Friedrich Merz se sont embués de larmes. Imaginez-vous que ce sont … les larmes de Merz dans une synagogue qui firent débat : un chancelier pouvait-il pleurer en public ?
« Courrier international »: « Soudain, Friedrich Merz s’interrompt au milieu de son discours – cinq, six, sept secondes. Il tente de reprendre, s’efforce de retrouver le fil, et s’arrête de nouveau. Oui, il lutte pour retenir ses larmes ». « En Allemagne, on ne voit pas souvent des responsables politiques, hommes ou femmes, en train de pleurer ou d’essayer de retenir des larmes en public », contextualise « Der Spiegel ». Outre-Rhin, les pleurs sont encore aujourd’hui présentés négativement…