Tribune Juive

Le Droit International Public soutient Israël! Par Pierre Saba

Le mensonge selon lequel Israël violerait continuellement et dans la proportion la plus importante au Monde (!) le « Droit international » est parmi les plus diffusés sur la planète.

Ce mensonge repose sur le déni, l’inversion et la falsification du Droit international public auquel l’incompétence et la haine font perdre le qualificatif de « public ». 

Jamais étayé, le mensonge est projeté en slogan par les dictatures criminelles qui s’unissent sur la haine du Juif et d’Israël et certains États de moins en moins démocratiques qui les soutiennent (France, Espagne, Australie, etc.) en pensant lui conférer une respectabilité grotesque et imméritée !

Le poison du mensonge en relation internationale.

On entend et on lit ad nauseam de la part des partisans des organisations criminelles (hamas, hezbola, etc.) et des ennemis d’Israël leurs «indignations» devant une «impunité  internationale» qui protègerait l’État hébreu dans ses «violations d’un droit international» d’ailleurs inexistant!

Le sempiternel poncif antisémite du « Juif tout puissant menant le Monde » sue de ces abjections qui ne reposent sur aucun fait ni aucun droit.

Les mensonges des agents (inter)nationaux des dictatures sanguinaires surpuissantes, sur-financées et suractives contre Israël, se heurtent pourtant, in fine, aux décisions judiciaires qui, en dépit de leurs discrétions, les déboutent partout.

Les jugements et arrêts ainsi rendus innocentent l’État hébreu là où les politiques et les diplomates l’incriminent.

Certes, la confusion entretenue par leurs media et les déclarations de dirigeants plus regardant de leurs intérêts que des décisions de Justice internationale troublent par la surmédicalisation du mensonge les jugements rendus.

Deux exemples d’incongruités anti-israéliennes

1- Ainsi de la Cour pénale internationale et de la Cour internationale de Justice.

Ces deux Cours sont revenues sur leurs réquisitoires (qui ne sont pas des décisions définitives mais des propositions), contraires au Droit international public,  indûment présentés comme jugements…quand elles ne sont pas revenues sur leurs propres arrêts eux-mêmes !

2- Ainsi, autre exemple cardinal, de l’implacabilité et de l’irréfragabilité de l’article 51 de la Charte des Nations-Unies relatif « au droit naturel de légitime défense » accordé aux États agressés.

Cet article enjoint tout État agressé ne bénéficiant pas de décision du conseil de sécurité de l’ONU de se défendre par tous moyens de guerre.

Caché, escamoté, falsifié par la jonction des États, des organisations criminelles et des nations complices qui collaborent désormais à la direction du Globe, l’article 51 n’en est pas moins exécutoire!

Le Droit plus fort mais plus discret que la propagande.

C’est par conséquent en raison de l’existence et de l’application d’un Droit international public protégeant les États agressés et en défense comme l’État hébreu que ce dernier, subissant l’opprobre politique et médiatique de ses ennemis et complices, ne subit aucune condamnation juridique.

Le torrent de propagandes hostiles à Israël le salit mais ne résiste pas à l’analyse ni à la synthèse judiciaires.

Il est regrettable pour la compréhension globale que les gouvernements israéliens ne publient pas nettement les décisions de Droit les exonérant de toutes les fautes auxquelles ses ennemis n’ont de cesse de les assigner.

Quoi qu’il en soit, si Israël n’est juridiquement condamné pour aucun de ses actes de légitime défense militaire, ce n’est nullement en raison de sa prétendue « toute puissance », triste reflet des purulences antisémites et qui assurerait une tout aussi prétendue « impunité ».

Il faut chercher ailleurs l’explication de la supériorité du respect du Droit par Israël sur les mensonges qui lui sont déversés.

1- Les mensonges sur Israël sont in-vérifiés, non-attestés, non précisés… mais le bruit, la géographie, la fureur de leurs multi-diffusions leur assurent l’impunité, les présentent comme la vérité et couvrent les contestations d’ailleurs fort minimes.

2- Arrivés devant les instances judiciaires, ces mêmes mensonges, appuyés par les mêmes personnes morales et physiques appartenant toutes aux tout puissants groupes de pressions, ne parviennent pas à sauter la haie de l’application du Droit par les magistrats en charge.

Quand il survient que les Cours internationales se joignent par forfaiture aux injonctions des lobbies antisémites et anti-israéliens en rendant des arrêts non conformes et illicites, les mensonges finissent par tomber devant les assauts des défenseurs judiciaires obstinés du Droit et la ténacité des textes juridiques.

C’est donc en raison de ce que les griefs projetés continuellement par ses ennemis et certains États comme la France se heurtent finalement, en dernier recours, à l’exécution des textes et des principes de Droit international public.

Les jugements rendus sur les griefs d’une prétendue culpabilité israélienne ne le protègent pas des propagandes qui sont hostiles à son existence.

Ils lui assurent néanmoins une pérennité diplomatique au titre d’un droit bafoué par des États mais finalement appliqué par des juges discrets, menacés mais tenaces que rien ni personne, ni à Paris, ni à Gaza, ni à Téhéran, ni nulle part, ne parvient à éradiquer.

© Pierre Saba

29 août 2025

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