
Après avoir été chassé de tous les pays africains, Macron est persona non grata au Moyen Orient sauf à Gaza bien sûr.
La décision israélienne de fermer le Consulat français à Jérusalem n’est pas un simple geste symbolique. C’est un acte de souveraineté clair, une mise au point face à un président français qui a choisi de courtiser Ramallah plutôt que de respecter l’un des plus vieux alliés de l’Europe au Moyen-Orient. Emmanuel Macron, qui aime se rêver en stratège planétaire, s’est retrouvé renvoyé à Paris avec un message limpide : on ne joue pas avec Jérusalem.
Selon des révélations publiées par « Israël Hayom », la décision a été préparée en coulisses par le ministre des Affaires étrangères, Gideon Sa’ar, après des mois de provocations françaises : conférences en faveur d’une reconnaissance d’un État palestinien, messages directs transmis à Mahmoud Abbas par l’intermédiaire du consulat français, et une diplomatie parallèle ouvertement hostile à Israël. Bref, Paris a cessé de faire semblant.
En fermant cette représentation diplomatique, Israël adresse un signal clair à l’Union européenne : chaque pays qui franchira la ligne rouge en tentant d’imposer une reconnaissance unilatérale d’un pseudo-État palestinien paiera un prix concret. Ce n’est plus la rhétorique molle des communiqués. C’est une politique de rétorsion assumée.
© Didier-Xavier Weïss
Directeur adjoint Choose Paris Region
Premier Adjoint au Maire de Levallois
Conseil Départemental des Hauts-de-Seine délégué aux Enjeux métropolitains
Conseiller national Les Républicains
Chroniqueur CNews
Polémiste Europe1 / Sud Radio / Beur FM