Coup dur pour la propagande du Hamas ! La presse allemande publie depuis hier des photos montrant qui était face aux femmes et aux enfants criant famine à Gaza, ces photos qui ont retourné l’opinion publique. Selon vous : qui était en face : des personnes distribuant de la nourriture ? C’est ce que nous avons tous cru. En fait, pas du tout ! C’était une mise en scène : ces gens agitaient leurs gamelles vides devant un photographe travaillant pour le Hamas et pour Erdogan. Ces photos incroyables n’étant pas libres de droit, nous vous incitons à aller les voir sur le site de BILD. https://www.bild.de/politik/ausland-und-internationales/gestellte-gaza-bilder-dieser-fotograf-inszeniert-hamas-propaganda-689069205bfd36554e9e6806?t_ref=https%3A%2F%2Ft.co%2F
et ci-dessous la traduction libre de l’article de BILD par Dhimmi Watch. BILD ne le fait pas, mais on peut se poser la question de l’authenticité de toutes ces photos de femmes et d »enfants agitant des gamelles. C’est de l’islamo-nazisme caractérisé.
1 Des enfants décharnés, des mères désespérées … Mais les images ne sont pas réelles.
2 Face aux gens qui agitent des casseroles, un photographe
3 Fteiha n’a-t-il aucun rôle là-dedans ?
4 Un photographe qui travaille pour Erdoğan, un ennemi d’Israël
5 Le Hamas contrôle 100% de la production d’images
Des enfants décharnés, des mères désespérées … Mais les images ne sont pas réelles.
Berlin – Des enfants décharnés, des mères désespérées et des gens mendiant de la nourriture avec des casseroles vides : ces photos de Gaza circulent dans le monde entier. Elles touchent des millions de personnes et influencent la politique mondiale.
Mais les recherches menées par le Sûddeutsche Zeitung[1] remettent désormais en question précisément ces images : certaines des images de Gaza sont-elles délibérément mises en scène – et font-elles partie d’une stratégie de propagande des terroristes du Hamas ?
Face aux gens qui agitent des casseroles, un photographe
Le faim est (presque toujours) réelle – mais les images ne le sont souvent pas entièrement. Une photo récemment largement diffusée montre des personnes désespérées dans un camion devant un centre de distribution alimentaire. Face à eux : le photographe Anas Zayed Fteiha, journaliste indépendant mandaté par l’agence de presse turque Anadolu.
Les gens agitent leurs casseroles et reçoivent peu de temps après de la nourriture. MAIS : Le photographe Fteiha ne partage apparemment pas les photos et n’a pas répondu à la demande de BILD de révéler quelles photos il a prises là-bas.
Anas Zayed Fteiha aurait apparemment un penchant pour la distribution de photos de Gaza montrant des femmes et des enfants. Un photo prise par un autre photographe autre photographe le montre, se préparant effectivement à prendre les photos de ces femmes et enfants criant famine. Problème: on voit derrière lui des hommes adultes attendant de la nourriture – et l’obtenant.
Fteiha n’a-t-il aucun rôle là-dedans ?
Ses photos – publiées par « Stern » et « New York Magazine », CNN et la BBC, Deutschlandfunk, « Junge Welt » et même « BILD » – montrent surtout le chaos et la destruction. Et surtout, les enfants, les mères et la souffrance, en gros plans et sous un éclairage parfait. Les souffrances des civils à Gaza sont immenses. De nombreuses personnes ont été tuées dans la guerre du Hamas contre Israël, et beaucoup souffrent de la faim. Cependant, la mise en scène de ces souffrances profite souvent au Hamas et à sa propagande.
Car le « journaliste » Fteiha [c’est Bild qui met entre guillemets] a apparemment une mission : « Libérer la Palestine ». C’est ce qui est écrit sur un tableau grandiloquent qu’il présente sur son compte Instagram, en tenue de combat, avec la fière inscription « Presse ». L’« artiste » qui a créé cette image pour Fteiha est un antisémite déclaré.
Une autre vidéo s’intitule « Fuck Israel ». Rien d’étonnant, puisque Fteiha est également active au sein d’europe.palestine.network, un « collectif pro-palestinien » pour une « action mondiale en Europe » qui non seulement documente les souffrances des Palestiniens à Gaza, mais promeut également la « résistance » internationale contre Israël. Ces images sont sur le site de BILD.
Un photographe qui travaille pour Erdoğan, un ennemi d’Israël
Un activiste, déguisé en photographe et reporter vidéo, au nom d’une agence de presse directement subordonnée au président turc et ennemi d’Israël, Recep Tayyip Erdoğan (71), qui à son tour a soutenu, financé et caché les terroristes du Hamas pendant des années.
BILD a contacté des agences photo. L’Agence de presse allemande et l’Agence France-Presse ont déclaré qu’elles ne coopéreraient pas avec le « journaliste » Fteiha et qu’elles examinaient attentivement les images des autres photojournalistes et leur réputation avant publication. Reuters a affirmé que ses photos « répondent aux normes d’exactitude, d’indépendance et d’impartialité ».
L’Association des journalistes allemands (DJV) met en garde : les belligérants utilisent délibérément les images pour influencer l’opinion publique. De manière professionnelle, stratégique et émotionnelle. Cela vaut également, bien sûr, pour Israël, qui a jusqu’à présent refusé l’accès à Gaza aux journalistes indépendants.
Le Hamas contrôle 100% de la production d’images
Résultat : dans la bande de Gaza, les photographes prennent désormais des photos presque exclusivement palestiniens, dont un certain nombre sont liés au Hamas. L’historien et expert en photographie Gerhard Paul a déclaré au Süddeutsche Zeitung : « Dans le sud de Gaza, le Hamas contrôle 100 % de la production d’images. » L’objectif : susciter la sympathie de l’Occident et attiser la colère contre Israël.
Et ça marche ! Personne n’est plus habile en propagande que le Hamas et les autres organisations terroristes palestiniennes : dès 2002, après l’occupation de la Cisjordanie par les troupes israéliennes, le dirigeant palestinien de l’époque, Yasser Arafat, s’était présenté dans sa « forteresse » de Ramallah, à la lueur des bougies et des lampes de poche – le seul combattant de l’OLP à être désespérément dans le noir…
Tout était faux : l’ancien dirigeant palestinien Yasser Arafat († 75) dans une mise en scène de 2002, mise en scène avec bienveillance par des photographes de presse
Un pur coup de propagande. Mais déjà à l’époque, de nombreuses agences n’avaient apparemment pas remarqué que les reporters vidéo de la « prison » d’Arafat n’avaient rendu cet effet possible qu’en éteignant toutes les lumières alimentées par batterie de leurs caméras. Des vidéos ont montré le leader de l’OLP à nouveau dans une lumière éblouissante quelques minutes plus tard – parce que « la presse » avait accepté de permettre la prise de ce magnifique cliché.
[1] Nicolas Freund, Z_urich, “Krieg und Medien – Wie echt sind die Bilder aus Gaza?” Süddeutsche Zeitung, 3/8/2025 https://www.sueddeutsche.de/politik/gaza-hunger-bilder-experten-propaganda-hamas-israel-li.3291720?reduced=true