Injecter l’idéologie du Hamas dans nos facs : non merci.
Un tel appel est incompréhensible, irresponsable et dangereux.
Il suffit de connaître la rhétorique qui imprègne une grande partie de ces étudiants et universitaires, le cas Nour est loin d’être isolé :
– une haine viscérale de l’Occident,
– une volonté farouche de détruire Israël et les « yahoud » comme ils disent depuis leur jeune enfance,
– une glorification de la violence et du 7 octobre,
– une adhésion à l’idéologie du Hamas et à l’obsession de la “résistance” antisémite.
Ce sont les produits de l’UNRWA, nourris à la propagande islamiste, que vous voulez maintenant injecter dans nos universités ? Empoisonner nos jeunes avec cette culture de la mort et de la haine ?
Avez-vous vu ce qui s’est passé à Sciences Po ? Imaginez-le démultiplié.
Pourquoi ne vont-ils pas étudier en Égypte, en Jordanie, ou dans les pays du Golfe ?
1/ Parce que ces pays les refusent.
2/ Et parce qu’ils veulent venir en Europe, non pas pour y apprendre, mais pour y exporter leur haine.
Voilà la triste vérité. Oui.
Et ce serait à la France de leur offrir un asile universitaire ? De devenir le réceptacle de leur haine et stratégie de nous submerger de « palestinisme » ?
Ce serait à nous de devenir les incubateurs de la prochaine génération de Rima Hassan ?
C’est un suicide assisté.
© Faraj Alexandre Rifai