Tribune Juive

Israël, Gardien de la Moralité, contre tous les Guterres

Crédit photo : IDF, 24.7.2025


👉Le massacre de plus de 1 100 Druzes et chrétiens à Suweida révèle l’abîme moral qui sépare l’action concrète d’Israël de l’inaction coupable des organisations internationales censées protéger les droits humains.


👉Tandis que les chancelleries occidentales restaient silencieuses face aux décapitations, viols et immolations perpétrés par les milices syriennes, Israël a immédiatement déployé une double riposte : militaire pour stopper les massacres, humanitaire pour soigner les victimes.

Le ministère de la Santé a organisé un pont aérien d’urgence vers l’hôpital de Suweida, acheminant équipements de traumatologie, médicaments vitaux et matériel chirurgical. Quatre hélicoptères de Tsahal ont livré cette aide coordonnée avec Washington.

👉Cette mission s’ajoute à la réouverture du centre médical mobile israélien près du village druze de Hader, fermé temporairement pendant les opérations anti-iraniennes. Ce dispositif offre « un large éventail de soins médicaux d’urgence et de traumatologie à la population syro-druze », selon Tsahal.

👉L’hypocrisie démasquée

En contraste saisissant, les gardiens autoproclamés des droits humains ont brillé par leur absence. Amnesty International, qui scrute obsessionnellement chaque action militaire israélienne, n’a émis aucune condamnation immédiate des atrocités syriennes. Human Rights Watch a attendu plusieurs jours avant de réagir mollement. Le CICR, pourtant mandaté pour protéger les civils en temps de conflit, est resté invisible.

Cette sélectivité révoltante atteint son paroxysme avec l’ONU : António Guterres a trouvé le temps de condamner les « frappes d’escalade » israéliennes qui ont stoppé les massacres, mais pas un mot pour dénoncer les bourreaux de Suweida. Une inversion morale stupéfiante où sauver des vies devient condamnable, tandis que les génocidaires échappent à tout blâme du moment qu’ils sont du côté des Lazzarini, Krähenbühl et Türk.

👉Cette leçon dépasse le cas syrien. Elle révèle la faillite d’un système international qui préfère pointer du doigt celui qui agit plutôt que de sanctionner ceux qui tuent. Israël assume seul la charge morale de protéger les minorités persécutées, quitte à s’attirer les foudres d’institutions corrompues par leurs propres contradictions.

L’histoire retiendra qu’en juillet 2025, face à un nouveau pogrom au Moyen-Orient, un seul pays a eu le courage d’intervenir pour sauver des innocents. Et que ce même pays fut condamné pour cela par ceux qui prétendent défendre la justice.

Israël vivra, Israël vaincra et l’humanité triomphera !

© Joel Hanhart

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