Le « Syndicat des journalistes palestiniens », un organisme affilié à l’Autocratie palestinienne, a « condamné une agression » perpétrée contre trois « journalistes » basés à Gaza par des membres de l’unité Sahm du Hamas, responsable du « maintien de l’ordre » dans la bande de Gaza, ainsi que par le « département d’enquêtes » de la « police » du Hamas.
Les trois « journalistes » concernés sont :
– Khaled Shaat, « travaillant » pour « l’Agence de presse Shaat » et la radio jordanienne « Al-Hayat »
– Mohammed Salama, « photographe » pour « Al Jazeera »
– Abdullah Al-Attar, « correspondant » pour « l’agence » turque « Anadolu »
« L’incident » se serait produit à « l’hôpital » Nasser de Khan Younis pendant que les « journalistes » étaient « en service ». Le « syndicat » qualifie cette « agression » de « comportement répréhensible et inacceptable » et souligne la nécessité de faciliter « la mission sacrée » des » journalistes » qui consiste à transmettre la vérité (sic).
L’organisation demande « une enquête urgente et transparente » sur cet « incident » et que les auteurs de l’agression soient tenus responsables. Une photo accompagnant le communiqué montrerait l’un des « journalistes » avec des blessures au bras.
Le syndicat rappelle également « les défis constants auxquels font face les journalistes dans la région ».
Un morceau d’anthologie, à conserver quand on connaît le rapport à la vérité qu’entretient le palestinisme tout entier forgé sur le mythe et le mensonge.
Guillemets, conditionnel et autres formes de modalisation : à la mode de l’AFP lorsqu’il s’agit de la parole des Juifs, laquelle « agence » reprend quotidiennement les annonces de la « Défense civile de Gaza » affiliée au Hamas.
© Joel Hanhart