
Faire appel à Mahmoud Abbas pour rédiger une lettre de paix, c’est confier un discours sur la démocratie à Bachar al-Assad.
Qui est Abbas ? Un négationniste antisémite dont la thèse de doctorat nie la Shoah. Un financier du terrorisme palestinien, complice de l’OLP d’Arafat dès les années 70. Un homme qui, encore en 2023, justifiait les crimes nazis en expliquant que “les Juifs ont été tués à cause de leur rôle social”.
C’est aussi le président illégitime d’une Autorité palestinienne corrompue, au pouvoir sans élection depuis 2005, qui verse des salaires mensuels aux familles de terroristes, glorifie les “martyrs” et refuse toute reconnaissance d’Israël comme État juif.
Macron le sait. Et pourtant, il lui tend la main comme à un “homme de paix”.
L’opportunisme crasse conjugué à l’ignorance — ou à la complicité — voilà la marque de fabrique du président français : après avoir déroulé le tapis rouge à Joulani, ex-Al-Qaïda, le voilà qui sollicite un ancien logisticien du terrorisme pour donner des leçons de coexistence.
Cette politique n’est pas seulement hypocrite. Elle est dangereuse. Elle trahit la mémoire des victimes du terrorisme. Elle affaiblit la paix véritable. Et elle conforte les pires ennemis de la liberté dans la région.
🔻 Macron est devenu l’ami des émirs islamistes, des chefs corrompus et des islamistes en cravate. Il ne défend ni la paix ni les valeurs de la République. Il en vend l’image à ceux qui veulent la détruire.
© Faraj Alexandre Rifai