
Francesca Albanese n’est pas une experte en droits humains. Elle n’est pas une observatrice neutre. Elle n’est même pas une militante malavisée. Elle est, sans conteste, la porte-parole internationale du Hamas. Une terroriste en tailleur-pantalon. Une porte-parole de la sauvagerie génocidaire, rouge à lèvres et accréditée auprès de l’ONU. Une propagandiste du mal à l’état pur, se cachant derrière les étendards pourris du « droit international » et des « droits humains ».
N’ayons pas peur des mots : le bébé Kfir Bibas, âgé de seulement 9 mois, a été enlevé par le Hamas, retenu clandestinement pendant des semaines et assassiné à mains nues. Son frère aîné, Ariel, a également été assassiné. Leurs corps ont probablement été brûlés. Leurs restes pourraient ne jamais être retrouvés. Et Francesca Albanese n’a pas versé une seule larme. Elle n’a jamais prononcé leurs noms. Elle n’a pas exigé leur libération. Elle n’a pas dénoncé les tueurs.
Elle les a défendus.
Elle a exigé la libération du directeur d’un hôpital de Gaza – qui, surprise, était aussi un haut responsable du Hamas. Un homme qui savait probablement où les bébés étaient enterrés. Un homme dont l’« hôpital » servait de centre de commandement terroriste. C’est lui qu’elle a défendu.
Cette femme a passé toute sa carrière à défendre des meurtriers et des violeurs d’enfants tout en calomniant la seule démocratie du Moyen-Orient. Et maintenant, elle tente de traîner des dirigeants israéliens – et même des entreprises américaines – devant un tribunal international illégitime parce qu’ils ont eu l’audace de s’opposer à la barbarie. Francesca Albanese n’est pas une militante. C’est une complice. Et elle doit être traitée comme telle.
Elle a publié un livre peu après le 7 octobre, intitulé J’Accuse, dans lequel elle a eu l’audace répugnante de s’emparer du nom d’un cri historique contre l’antisémitisme et de l’utiliser pour blâmer – une fois de plus – les Juifs pour leur propre massacre. Elle a accusé Israël du massacre de son propre peuple. Elle a servi de couverture intellectuelle aux décapitations de femmes diffusées en direct et aux incendies de familles entières. Et elle a fait tout cela avec une suffisance suffisante, tandis que des bébés comme Kfir Bibas étaient démembrés dans des tunnels souterrains construits avec du ciment de l’UNRWA.
Parlons de l’UNRWA. Ce n’est pas une organisation humanitaire. C’est le bras logistique du Hamas. Elle stocke des roquettes dans les écoles. Elle imprime des manuels scolaires qui apprennent aux enfants à tuer des Juifs. Elle emploie des terroristes et leur verse des salaires financés par les contribuables occidentaux. L’UNRWA est une organisation terroriste bénéficiant de l’immunité diplomatique – et Francesca Albanese en est l’ambassadrice mondiale. Elle ne se contente pas de favoriser cette infrastructure du mal, elle la sanctifie. Elle utilise le langage des droits de l’homme pour blanchir les meurtres de masse.
Et l’ONU ? Ne prétendez même plus que c’est une institution légitime. C’est une farce moralement dénuée de sens. Un spectacle de monstres kleptocratiques où l’Iran siège à la Commission des droits des femmes et où la Chine donne des leçons de liberté au monde. L’ONU n’est pas en panne ; elle est diabolique. Et Albanese en est la bourrelle la plus raffinée.
Elle n’est pas une exception. Elle est l’ONU. Il s’agit de la même institution qui a ovationné Yasser Arafat et légitimé Mahmoud Abbas tout en diabolisant Israël année après année. Ce même système qui a laissé tomber le Rwanda, le Darfour, les Yézidis – et qui crache maintenant sur la mémoire des 1 200 hommes, femmes et enfants israéliens massacrés le 7 octobre. Albanese n’est pas un chien de garde. C’est un vautour
Et ne vous y trompez pas : si vous voulez comprendre l’idéologie qui a massacré Kfir et Ariel Bibas, il suffit de regarder le bureau de Francesca Albanese. L’encre sur ses rapports est la même que celle utilisée pour signer leur assassinat. Elle est le pont entre la diplomatie bureaucratique et la barbarie des barbelés.
Plus jamais ne signifie pas hashtags. Cela signifie action. Cela signifie attirer le mal vers la lumière et le détruire avant qu’il ne frappe à nouveau.
Francesca Albanese n’a pas sa place dans une institution.
L’histoire se souviendra d’elle, non pas comme une voix de la justice, mais comme une porte-parole de l’horreur.
Et si Dieu le veut, la justice se souviendra d’elle aussi.
© Giovanni Lupo