
Photo prise dans une salle d’attente à Méa Chéarim:
en haut, les livres de rabbi Yoël Teitelbaum de Satmar
En bas, la liste des otages encore retenus par le complexe Hamas-UNRWA, dont au milieu ceux du festival Nova
Photo prise dans une salle d’attente à Méa Chéarim:
En haut, les livres de rabbi Yoël Teitelbaum de Satmar.
En bas, la liste des otages encore retenus par le complexe Hamas-UNRWA, dont au milieu ceux du festival Nova.
Les journalistes gloseraient avec jouissance des divisions d’Israël. Ils pondraient des éditoriaux péremptoires sur le bon judaïsme forcément anti- ou post-sioniste, en phase avec le palestinisme et sur ces Juifs qu’on aurait voulu aimer mais qui s’accrochent à leur vérité.
On interviewerait les quatre mêmes dinosaures universitaires qui ont fait carrière, surtout dans les médias français, en déblatérant contre les hommes en noir.
Les idiots et les méchants mettraient en évidence les trois hurluberlus se faisant passer pour des rabbins, qui n’ont aucun rapport avec le corps concret d’Israël et qui s’exhibent en tenue folklorique avec Dieudonné ou Ahmadinejad.
Mais, toute fille et tout fils d’Israël sait, au fond de son âme, par toutes ses fibres, qu’Israël est UN.
Fondamentalement, ontologiquement.
Et c’est fort de cette unité qu’il fera advenir des temps meilleurs.
© Joel Hanhart