
Francesca Albanese, est «rapporteur spéciale des Nations unies sur les territoires palestiniens» depuis 2022. Son mandat a été renouvelé par Guterres en 2025 contre l’avis de nombreux pays membres, qui l’accusent d’antisémitisme et de soutien au terrorisme.
Le CV de cette Italienne est très léger, ni diplômes ni expérience particulière qui justifierait un tel poste à l’ONU. Elle est une sorte de «proxy» de Guterres, dont l’hostilité à Israël ne peut s’exprimer au-delà de ses courbettes aux dictateurs et de son soutien à l’UNRWA.
Depuis près de deux ans, Albanese a multiplié ses attaques contre Israël et ses sorties antisémites contre le «lobby juif». Elle minimise le pogrom du 7 octobre, comme la Shoah d’ailleurs, chaque fois qu’elle en a l’occasion. Complotiste à souhait, elle a accusé pêle-mêle le Mossad et la CIA de terrorisme, notamment d’être les auteurs des attentats de « Charlie Hebdo », rien que ça !
On aurait pu attendre du débonnaire Guterres qu’il modère cette furie. Mais non, bien au contraire, il la maintient à son poste.
Hier, le 9 juillet, Marco Rubio, annonce que Francesca Albanese devient persona non grata aux États Unis. Ses avoirs sont gelés et les citoyens américains ont l’interdiction de «faire affaire» avec elle, comprendre de collaborer à quoi que ce soit. Les campus américains, passionnés par les interventions incendiaires de cette femme, auront reçu le message.
Peut-être que nos Rima Hassan et autres Thomas Portes ou Aymeric Caron comprendront que la fin de leur impunité est proche. Le dernier revirement de Macron sur l’islamisme, redevenu dangereux à ses yeux, semble l’indiquer.
© Mouchka Ruth Beniflah

deux personnes lamentables
elles méritent notre mépris
quand l onu cesserai t elle de ne s occuper que d israël
il y a tant de conflits dans le monde
et eux ont les yeux rivés sur israël
honte à eux
Cette femme me donne envie de vomir. Elle n’a pas eu un mot pour les femmes israéliennes martyrisées sous les youyous des civils de Gaza. Comme toutes ces pseudo-féministes d’ailleurs. Quant à Guterres… à oublier.