
« Dans mon documentaire « 7 octobre, histoire d’un massacre », en replay sur la plateforme BFM-RMC-Story, une jeune femme expliquait avoir été témoin de ces viols.
Pour la première fois, un projet de modèle juridique visant à poursuivre le Hamas pour les violences sexuelles commises le 7 octobre a été publié.
27 personnes ont témoigné, décrivant de multiples cas de violences sexuelles: objets insérés dans les parties intimes, traces de coups de feu ou d’autres mutilations au niveau des parties génitales, femmes nues menottées à des arbres, femmes à moitié nues ou entièrement nues, certaines allongées, les parties génitales exposées et les jambes écartées.
D’autres témoignages ont fait état d’au moins deux viols de cadavres de femmes.
« Le caractère systématique des violences sexuelles a émergé et a été démontré ».
D’anciens otages ont témoigné des abus sexuels commis par des hommes et des femmes lorsqu’ils étaient à Gaza, notamment : tentative de viol, acte sexuel forcé, nudité forcée, harcèlement sexuel verbal et physique, menaces de viol, nudité forcée d’un enfant.
Des images du 7 octobre montrent l’enlèvement du corps de Shani Louk, une victime du festival Nova : on le voit être jeté à l’arrière d’une camionnette et paradé à Gaza, presque entièrement nu, entouré de terroristes en liesse ». Yves Azeroual
« Le rapport le plus complet jamais réalisé sur les violences sexuelles perpétrées par le Hamas le 7 octobre a été présenté aujourd’hui. La survivante de la captivité Ilana Gritzewsky a pris la parole lors de la cérémonie d’inauguration du rapport aujourd’hui, à la résidence du président. Ces mêmes agrégateurs de violences sexuelles sont les mêmes qui retiennent actuellement nos otages captifs. La souffrance doit cesser et les 50 otages doivent être ramenés à la maison maintenant ». Bring Them Home Now
Aujourd’hui, le « Projet Dinah » a présenté son rapport complet à la Première Dame d’Israël qui s’est exprimée : « Ce n’est pas un combat pour la liberté, c’est de la violence pure et simple ».