
Rima Hassan : avec les lettres de son nom = Hamas Iran.
Un voilier rebaptisé Madleen, un nom qui commence par mad =folle
Elle voulait arriver à Gaza par la mer alors que ce territoire maudit est soumis à un blocus militaire depuis plus de 600 jours.
Les israéliens n’arrêteront pas de rechercher les otages capturés et soumis à la torture de la faim, de la soif, à l’obscurité, à la terreur.
Ils cherchent et ne les ont pas trouvés dans les catacombes creusées. Ils ont trouvé et éliminé des dizaines de milliers de terroristes.
Gaza n’est pas un territoire d’Israël depuis 20 ans et après avoir chassé l’Autorité palestinienne, des terroristes ont pris le pouvoir : Parti de la résistance islamique, Hezb makawouma islamya. Ils ont reçu des milliards venus de l’Iran et du Qatar.
Les chefs sont devenus des milliardaires mais ils n’en profiteront pas : Tsahal les a tous expédiés au paradis des 72 vierges.
La haine des juifs depuis des millénaires, le génie juif depuis toujours, la réussite démocratique, économique, scientifique d’un si petit État coincé dans les territoires arabes, les victoires militaires des Forces de Défense d’Israël, Tzvi Haganah Leisrael, Tsahal et la haine augmente : 6 millions de juifs exterminés par les nazis ne suffisent pas. Chassés des pays arabes où ils ont dû laisser tous leurs biens, il faudrait qu’ils s’en aillent de leur pays, celui que Moïse leur avait attribué.
Et c’est Rima Hassan fraîchement naturalisée française qui a voulu débarquer à Gaza sous blocus et s’est ridiculisée en étant accueillie avec un pain au chocolat et des sourires narquois. Elle refuserait d’être renvoyé en France ! Elle a honte de sa mésaventure ou bien est ce encore une manifestation de sa « kbaha », mot arabe qui signifie violence et vulgarité ?
Mélenchon a éructé, gestes et ton de Hitler et notre Président a poursuivi sa cour aux arabes qui pourraient lui assurer une seconde carrière.
Quand l’actualité rime avec Rima, on n’est plus dans la politique et déjà un spectacle de Dieudonné a une bien meilleure tenue.
© André Simon Mamou