Tribune Juive

« Nous ne nous briserons pas. Nous ne nous rendrons pas. Nous ne nous excuserons pas de protéger nos enfants et notre Terre ». Par Mordehaï Fitoussi

Quelque chose semble trop orchestré, terriblement coordonné, comme si quelqu’un tirait les ficelles en coulisses.

En moins d’une semaine, nous assistons à une série d’événements suspects :

Ce n’est plus accidentel, c’est orchestré. Une tentative internationale d’arrêter Israël au moment-même où il progresse

Le « Washington Post » publie des Fakes News prétendant que Trump a l’intention d’abandonner Israël s’il n’arrête pas les combats, une publication immédiatement démentie par les responsables américains.

L’Union européenne annonce qu’elle « envisage » un accord commercial avec Israël.

La France, la Grande-Bretagne et le Canada parlent soudainement et ouvertement de reconnaître un État palestinien.

Et en Israël-même, précisément dans les jours critiques des combats contre le Hamas, Yair Golan choisit de comparer les soldats de Tsahal à des « tueurs d’enfants ».

Ce n’est plus accidentel, c’est orchestré.

Ce qui se passe ici est une tentative internationale visant à arrêter Israël au moment même où il progresse militairement, moralement, en matière de sécurité et politiquement.

Après des années de missiles, d’attaques, d’enlèvements et de cruauté inimaginable de la part du Hamas, l’État d’Israël se bat enfin pour éradiquer le mal à la racine. Plus de « gestion des conflits », plus de « calme temporaire », mais une décision. Et c’est exactement ce qui effraie tout le monde.

Le monde est habitué à un Israël faible. À un Israël qui s’excuse. À un Israël qui tend la main même lorsque l’autre est coupée.

Ils le savent : un Israël fort est une toute autre histoire. Un Israël fort est un centre d’influence, de technologie, de sécurité, de stabilité dans un Moyen-Orient en proie à la violence.

Et c’est menaçant. Cela porte atteinte à l’ordre ancien. Cela déséquilibre ceux qui ont fondé leur idée sur l’idée que les Juifs continueront d’être le parti persécuté.

Et ainsi, ils utilisent tous les outils : une presse hostile, des campagnes juridiques, des pressions politiques, des déclarations creuses sur un « État palestinien », des avertissements d’ »escalade », un faux équilibre moral entre meurtriers et défenseurs, et une propagande anti-israélienne déguisée en préoccupation pour les droits de l’homme.

Ne vous y trompez pas, il ne s’agit pas seulement d’antisionisme. C’est du bon vieil antisémitisme, enveloppé dans un nouveau langage. Parce que lorsque les Juifs sont assassinés, le monde reste silencieux. Et quand les Juifs se battent pour leur vie, le monde crie.

Il y a aussi de la jalousie ici. Le petit Israël, avec environ dix millions d’habitants, parvient à construire une économie stable, à exporter des innovations, à maintenir une armée forte et à résister fièrement à des ennemis cruels. C’est un choc pour les États en faillite, pour les hypocrites de Paris et de Londres, et pour les bureaucrates de Bruxelles qui ne comprennent pas comment nous ne faisons pas faillite.

Mais nous ne nous briserons pas. Nous ne nous rendrons pas. Nous ne nous excuserons pas de protéger nos enfants. Nous ne serons pas poursuivis pour avoir maintenu notre existence.

Un Israël fort ne s’excuse pas. Un Israël moral n’a pas besoin de faire ses preuves auprès de qui que ce soit. Et nous poursuivrons notre juste lutte, à la fois contre le Hamas, contre la campagne mondiale et contre les voix de l’intérieur qui perdent le contact avec la réalité.

Le peuple d’Israël comprend bien ce qui est en jeu. Et sous cette pression, comme toujours, nous grandirons et deviendrons plus forts. Car l’histoire a prouvé que lorsque les Juifs restent sur leurs positions, le monde devient confus. Et quand ils gagnent, le monde entre en hystérie.

Nous allons avancer. Non pas pour plaire au monde, mais pour assurer l’avenir de nos enfants.

© Mordehaï Fitoussi

Mordehaï Fitoussi est le fondateur du Groupe Israel Eternel sur Telegram

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