
Il est de cette engeance qui, au lieu de passer son chemin devant la critique, ou, mieux, d’ouvrir le débat, réagit toujours trop vite, trop mal, et brandit d’improbables arguments au lieu que de se taire.
Vous avez osé avoir un autre avis que le sien? Le Sieur Klugman prend sa plus belle plume et vous sert une lettre ouverte: il le fit récemment à l’endroit d’un Serge Klarsfeld, d’un Simon Moos, d’un Bernard-Henri Lévy, auxquels il écrivit avec un lyrisme mal adapté son indignation.
Aujourd’hui, c’est à Tribune juive et un de ses collègues que le ténor s’en prend, via les Réseaux sociaux sur lesquels il écrit ce 18 avril:
Un confrère qui m’est inconnu écrit dans un journal que je pensais disparu une tribune dans laquelle est réfuté par avance ce que nous pourrions dire dans une conférence qui ne s’est pas encore tenue. […] C’est une sorte de question d’éthique démocratique et nos désaccords s’ils existent méritent mieux que des excommunications jetés à la cantonade.
Pétri de prétention et de mauvaise foi, Patrick Klugman dit en somme que « ce serait idiot de publier un texte d’un avocat inconnu dans un site oublié pour parler d’une conférence non encore tenue ». Ah bon ? On ne pourrait pas parler des projets , on devrait attendre qu’ils soient réalisés pour éventuellement les critiquer ? Klugman a été emporté par son désir d’être brillant : « On connaît pas et ça n’a pas eu lieu donc on ne doit pas critiquer ! »
_________
TJ tient à signifier à ce piètre donneur de leçons tout son mépris pour ses attaques contre un titre né en 1945 et qui a défendu sans discontinuer Juifs et Israéliens
____________
— Sarah Cattan (@SarahCattan) April 20, 2025