Lors du discours de la ministre May Golan à l’ONU, les représentants des pays arabes ont quitté la salle en signe de protestation, mais elle a continué avec un discours fort devant le président et la représentante d’ONU Femmes, en disant : « Votre trahison pue la pourriture de l’histoire, vous servez de porte-parole aux gangs de violeurs et d’avocats aux terroristes ! »
Lors d’un discours houleux prononcé à la conférence annuelle de la CSW à l’ONU pour marquer la Journée internationale de la femme, présidé par une représentante d’ONU Femmes, l’organisation des Nations Unies pour les droits des femmes qui a ignoré les atrocités commises contre les femmes israéliennes, et alors que les représentants des pays arabes partaient, la ministre May Golan a violemment attaqué les responsables de l’ONU qui ont cautionné les crimes de viol et de torture commis par les terroristes du Hamas lors du massacre :
« Je suis ici aujourd’hui pour les victimes dont vous avez trouvé des justifications aux souffrances, simplement parce qu’elles ne correspondaient pas à votre récit. Nous ne demanderons pas l’aide de vos conseils inutiles.
Protégeons-nous, car personne d’autre ne le fera ! »
Dans son discours aux personnes présentes, la ministre a décrit les témoignages durs des horreurs du viol des femmes lors du massacre du 7 octobre, et les a fustigés : « Je n’ai aucune attente envers les monstres du Hamas – ma colère est contre vous à l’ONU, contre vos décisions creuses et votre aveuglement sélectif. Des bébés ont supplié les meurtriers du Hamas d’arrêter de torturer et de violer leurs mères, pour ensuite les voir se faire massacrer, puis être eux-mêmes assassinés. C’est cet enfer que vous ignorez, Nations Unies ! »
Elle a ensuite mis en garde contre la propagation de l’islam radical en Europe : « Des gangs de violeurs sillonnent déjà les rues d’Europe, arborant la bannière du ‘politiquement correct’. Les pays européens ont choisi de commettre un suicide culturel et ont sacrifié leurs filles sur l’autel de ‘l’acceptation de l’autre’ – en effet, il faut accepter l’autre, mais jamais accepter les monstres ! »
« Il n’y a pas de justice, ni légale ni morale, si la voix blessée et douloureuse d’une femme juive est niée et réduite au silence – et je m’engage à continuer à travailler de toutes mes forces dans ce domaine et dans tous les domaines pour refléter la vérité des femmes israéliennes et du peuple d’Israël.
Pour conclure son discours, la ministre a déclaré :
« Du fleuve à la mer – les femmes juives seront libres ! »
Avant d’ajouter en hébreu : « Le peuple éternel n’a pas peur des longs voyages ! »*