
La libération et l’apparition publique de Mohammed Abu Warda le 20 février 2025 illustrent de façon saisissante la nature et les objectifs de la cause dite palestinienne.
Ce terroriste du Hamas, libéré le 8 février après seulement 23 ans de prison alors qu’il purgeait 48 peines à perpétuité pour le meurtre de 45 personnes, s’est affiché au premier rang d’une cérémonie macabre de remise des corps d’otages israéliens à Khan Younis.
L’homme considéré par la justice israélienne comme l’auteur de « l’un des actes d’accusation les plus graves de l’histoire de l’État » a notamment orchestré un attentat à la bombe dans un bus à Jérusalem en 1996, tuant 24 personnes.
Sa libération fait partie d’un accord d’échange plus large entre Israël et le Hamas.
Alors même que l’Égypte refuse de l’accueillir sur son territoire, Abu Warda a profité de cette cérémonie de remise des corps – dont ceux de deux jeunes enfants – pour promettre publiquement la poursuite de la « résistance jusqu’à la libération de Jérusalem », illustrant ad nauseam ce que, dans le sang des enfants Bibas, la grande majorité du peuple d’Israël a compris : le « problème palestinien » a été formulé de sorte à ce que la solution du « problème juif » soit finale, au sens où l’entendait Al-Husseini, figure tutélaire de l’abomination que constitue une lutte basée sur l’effacement du nom d’Israël.
Mais Il ne sommeille ni ne dort le Gardien d’Israël !
© Joel Hanhart