
Qu’il fait chaud au coeur, mon cher Boualem, d’écouter tes amis, nos amis: Jamais nous ne baisserons la garde, Tu seras libéré et Ensemble nous veillerons. Sans Toi, Cette lutte perd son sens. Je me dis sottement que tu nous entends. Que tu sais que nous nous battons et que nous vaincrons la barbarie qui t’a mise en prison: Oui, Nous avons plus besoin de Toi que Toi de Nous, mon cher Boualem.