
La Belgique est complètement vérolée par l’entrisme de l’Islam politique et djihadiste, la confrérie des frères musulmans s’étant infiltrée à tous les niveaux depuis des décennies, partis politiques, institutions, niveaux de pouvoir communal, régional, fédéral, européen, universités, surtout l’ULB, administrations communales, services publics, culture.
D’anciennes baronnies belgo-belges ont déjà été conquises par les frères musulmans transformant ces territoires en petits califats locaux.
Et tout ceci avec la complicité active, bienveillante, ou passive et lâche des autorités pratiquant le communautarisme et les accommodements raisonnables avec l’Islam, aidée par une classe médiatique islamo-collaborationniste complaisante, persuadée naïvement que la politique de l’apaisement finirait par éliminer les velléités de conquête et de domination.
C’est la faiblesse de l’état belge fédéralisé et sans colonne vertébrale, rongé par le clientélisme politique, la guerre linguistique, le sécessionnisme et le séparatisme flamand et islamique qui a fait de ce pays déjà improbable une proie le transformant en zone régionale européenne soumise à l’Islam.
La Belgique qui n’a jamais été un véritable pays mais plutôt un état artificiel tampon constitué de deux entités antinomiques incompatibles devenues autonomes depuis 1992 et ne se parlant quasi jamais sauf tous les quatre ans pour continuer à gouverner ensemble un état croupion servant de laboratoire à l’Union Européenne, est aujourd’hui en voie d’achever sa dilution dans un ensemble multiculturel dominé par l’Islam conquérant et un anti sionisme débridé indistinct de l’anti judaïsme multiséculaire.
Pauvre B.
© Michel Rosenzweig