Alors qu’en Israël des milliers de manifestants réclament le retour des otages et un changement de gouvernement et qu’à Tel-Aviv, les familles des otages, réunies devant le siège du ministère de la Défense, assurent qu’elles sont « à bout » et qu’elles vont « mettre le feu au pays », les campagnes incessantes rappellent à ceux qui -au nom de la réalpolitik- tentent d’occulter ce « dossier », la complexité cruelle de la chose.
Entrer dans Rafah. Éliminer jusqu’au dernier des terroristes. ET NOS OTAGES?
