
Biden en campagne veut soigner la gangrène islamiste.
Il nous a témoigné sa compassion avec le discours la plus pro-Israélien jamais entendu.
Le docteur Biden croit qu’il peut guérir le malade avec une visite à domicile et empêcher l’épidémie de s’étendre à toute la région.
Il doit surtout penser, qu’une tournée au Proche-Orient est meilleure pour sa campagne électorale qu’un déplacement dans le Colorado.
Il aime jouer à l’homme d’action.
Le meilleur moment de sa présidence, c’est quand il s’est fait photographier avec Zelensky.
Derrière moi, la guerre!
En Israël, c’est une autre sorte de raid diplomatique.
Il n’y a aucun arrangement possible avec le Hamas.
Dr Jo a pris le risque d’un fiasco diplomatique, qui viendrait redoubler l’échec du renseignement américain à dévoiler les manigances du Hamas et de l’Iran.
Ne pouvant pas exiger d’Israël de la retenue, il a cherché à inciter.
Il n’est pas venu les mains vides:
2 porte-avions
2500 marines
10 milliards de dollars pour remplacer les missiles anti-missiles qui forment le Dôme de fer.
Antony Blinquen a beau s’agiter, en 10 jours, il n’a pas réussi à obtenir de ses alliés une condamnation sans équivoque du Hamas.
L’Égyptien Sissi lui a fait la leçon sur les souffrances des Palestiniens, il a prétendu que les Juifs n’ont jamais été persécutés en Égypte.
Et si les Égyptiens refusent d’ouvrir le passage de Rafa, c’est parce qu’ils savent que les habitants de Gaza qui s’enfuient n’y reviendront jamais.
Le Docteur Biden arrive avec des pansements, de la morphine…
La médecine d’urgence ne suffira pas à soigner une blessure si profonde et gagnée par la gangrène islamiste.
© René Seror