
La wok et la Cancel culture se permettent tous les excès.
Ils vendent Brigitte Bardot dans « Le Mépris »: trop sexualisée! Polanski et l’Affaire Dreyfus qu’ils censurent.
Cette « petite minorité » militante et active reçoit le soutien de l’écrivain Annie Ernaux ou de la « militante » Assa Traoré… -« couple »qui n’a rien de surprenant- contre une prétendue fachosphère.
Heureusement qu’un certain cinéma populaire trouve encore son public !
L’occasion est top belle pour vous dire qu’Alibi.com 2 du réalisateur Philippe Lacheau, très éloigné des donneurs de leçon et des déconstructeurs, cartonne en salle.
Il nous faut très rapidement trouver l’antidote à ce mal qui nous vient de loin: le wokisme!
Apprécions Jean Dujardin qui dit « être plus heureux devant des rognons dans une auberge que face à du quinoa dans un restaurant urbain… »
Pourquoi pas les 2, si l’auberge est cacher.
Et surtout, évitons celui qui dit: « On a plein d’idées de que pourrait être un monde post-capitaliste, c’est-à-dire communiste »
Au secours.
Mesdames, que préférez-vous?
La virilité teintée d’ironie ou la liberté mariée à la profondeur?
En un mot: l’esprit français ou l’esprit de sérieux frisant la pudibonderie ?
Le panache contre la morale des moralisants?
Le plaisir de vivre contre la neurasthénie militante?.
Bref: le cinéma et la littérature dans ce qu’ils ont de meilleur!
© René Seror