
Indécence. Mais ce mot a-t-il encore un sens pour les indignés sélectifs biberonnés à l’idéologie de la cancel culture qui noie les esprits aux USA comme en France et … en Israël ?
Et Israël étant en guerre, le mot qui me vient à l’esprit est plus brutal certes, mais correspond à la réalité car celui qui brandit le drapeau de l’ennemi en est le représentant : trahison.
Ceux-là trahissent leur pays et leur peuple. Ils trahissent également les idées et l’action de ceux qui se revendiquaient de la gauche et ont fondé le Yishouv puis l’Etat d’Israël : Ben Gourion, Golda Meir et d’autres avaient l’amour de leur peuple et de leur terre chevillé au corps. Leur ont succédé des assoiffés du pouvoir et des traîtres qui agitent le drapeau et acclament les slogans de ceux qui tuent leurs frères.
Même s’il ne s’agit que d’une minorité, elle ne peut laisser indifférent ni être traitée en haussant les épaules : au physique comme au mental, la gangrène est mortelle.
© Dina Kaplan