S’est tenu hier jeudi, au Musée du peuple juif de Tel-Aviv, le Congrès de l’Organisation sioniste mondiale.
Le président israélien, Isaac Herzog, s’est exprimé au sujet des défis du boycott de l’État d’Israël, revenant sur les aspects juridiques, économiques et sociaux.
Avec une clarté indicible.
Définissant le contexte du boycott et de délégitimation auquel est confronté Israël depuis près de deux décennies, il a déclaré à raison: « Le phénomène de délégitimation vise à isoler Israël de l’arène internationale et bafoue les fondements de son existence en tant qu’État juif et démocratique ».
Après être revenu sur les graves conséquences économiques, politiques, académiques, ou sociales engendrées, il a conclu que l »a combinaison de la haine d’Israël, de l’ignorance et de l’antisémitisme amenait les opinions à se retourner contre l’État hébreu », qualifiant lesdites campagnes de « campagnes qui encourageaient la haine ».
Paroles Paroles, diront d’aucuns.
